----- Original Message -----
From:
Sent: Thursday,
June 26, 2014 11:40 AM
Subject: Lien
Même si, à la
fin, l'article me semble tellement signé qu'il "innocente" le
complice de MOAA dans le crime du 6 août 2008, je pense que son auteur a peint
un tableau objectif des défis que la "réélection" du général
putschiste constituent pour la Mauritanie.
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From:
Sent: Thursday,
June 26, 2014 2:57 PM
Subject: Lien
L'article à ce lien ( http://www.lutte-ouvriere-journal.org/?act=artl&num=2395&id=42)
est une preuve criante de la dangerosité du régime de MOAA et sur la Mauritanie
et sur la France : Sur la Mauritanie, car il consacre une image peu reluisante du
pays. Même fausse (les esclaves enchaînés, c'est un mensonge, les "maures
blancs" qui asservissent des "haratines noirs", c'est faux
aussi, non seulement parce que les maures ne sont pas blancs, ni que que les
"haratines" ne sont pas tous noirs, mais aussi parce que les
"haratines" ne sont pas des esclaves (!!!!) et bien des communautés
noires du pays ont des esclaves, noirs eux-aussi), l'image de pays esclavagiste
nous collent désormais et, comme tout préjugé, elle aura la vie dure. Un autre
danger pour nous est l'identification du pouvoir corrompu et fantoche du
général félon à la communauté (les maures, de tous les teints) que celui-ci
combat le plus, parce qu'elle compte le plus d'opposants à lui !
Pour la France, car le soutien de Paris aux putschistes de
Nouakchott, largement attesté par les gestes et paroles des deux derniers
ambassadeurs français à Nouakchott et par d'autres événements
politico-diplomatiques s'invite désormais dans le débat politique
franco-français. Et de quelle manière !
Quel gâchis ! Et pour rien !
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Original Message -----
From:
Sent: Thursday,
June 26, 2014 3:12 PM
Subject: Lien
A ce lien (http://cridem.org/C_Info.php?article=657751)
un article qui dit, enfin, ce que tout le monde dit depuis longtemps tout bas.
Les conclusions de nos débats épistolaires n'ont jamais été différentes.
Ce qui est grave, c'est que le projet satanique est très
avancé et la machine à l'exécuter tourne à plein régime. Peut-on l'arrêter sans
faire des dégâts collatéraux? Je souhaite que oui, les mains tendues au
Tout-puissant.
Un dernier constat : S'agissant de notre ami, le temps
commence à dénuder ce qu'il habillait.
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