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dimanche 1 juin 2014
La majorité silencieuse piégée par le boycott de l’opposition…
Le jour J sera un jour difficile car un principe premier
de la démocratie va être pris en otage par le boycott à savoir celui du secret
du vote… Normalement, mis à part les militants, le vote du citoyen lambda est
censé être secret or avec le boycott ce premier pilier de la démocratie vole en
éclats dans une société comme la nôtre où tout est à peu près une affaire de
famille.
Ainsi, le jour J, grâce à l’encre indélébile, dans chaque famille chacun saura qui est allé voter et qui s’est abstenu, on saura donc qui est pour le boycott et qui est contre. C’est très grave car si on participe cela veut dire clairement qu’on ne vote pas pour les partis qui boycottent et si on s’abstient cela signifie qu’on est de l’opposition radicale même si d’autres partis plus light boycottent aussi.
Alors il y aura de très grandes pressions contre la majorité silencieuse surtout que l’encre tient jusqu’au lendemain où tout le monde va travailler donnant ainsi clairement la position de chacun.
Quant à l’abstention, elle ne sera pas record au niveau de plus grand nombre car le plus grand nombre c’est le peuple pauvre et illettré qui est bien loin des slogans de salon. Il ne faut pas oublier qu’au retour d’Aziz de Paris encore en convalescence, c’étaient à peu près 100.000 personnes dans les rues que le pouvoir a pu réunir. De toute façon, Aziz ne risque rien. Ceux qui tremblent pour l’abstention sont les gens du pouvoir qui assurent qu’ils tiennent tel et tel fief, tel et tel patelin car après les résultats, ça va chauffer pour eux. C’est le seul enjeu de cette affaire car pour l’abstention le pouvoir pourra donner l’exemple de la France où le premier parti de France est celui de l’abstention…
De là qu’en France comme ailleurs, il est peut-être temps de penser sérieusement à rendre le vote obligatoire car on ne peut pas se dire libre ou pas de voter et n’avoir pas le choix de payer ses impôts ni de choisir celui qui les fixe ou qui dirige le pays. C’est absurde.
Nous en avions déjà parlé voir cet article :
« Et si Aziz rendait le vote obligatoire comme en Belgique, Australie, brésil, Luxembourg et dans bien d’autres pays ? »
http://chezvlane.blogspot.com/2013/07/et-si-aziz-rendait-le-vote-obligatoire.html
Ainsi, le jour J, grâce à l’encre indélébile, dans chaque famille chacun saura qui est allé voter et qui s’est abstenu, on saura donc qui est pour le boycott et qui est contre. C’est très grave car si on participe cela veut dire clairement qu’on ne vote pas pour les partis qui boycottent et si on s’abstient cela signifie qu’on est de l’opposition radicale même si d’autres partis plus light boycottent aussi.
Alors il y aura de très grandes pressions contre la majorité silencieuse surtout que l’encre tient jusqu’au lendemain où tout le monde va travailler donnant ainsi clairement la position de chacun.
Quant à l’abstention, elle ne sera pas record au niveau de plus grand nombre car le plus grand nombre c’est le peuple pauvre et illettré qui est bien loin des slogans de salon. Il ne faut pas oublier qu’au retour d’Aziz de Paris encore en convalescence, c’étaient à peu près 100.000 personnes dans les rues que le pouvoir a pu réunir. De toute façon, Aziz ne risque rien. Ceux qui tremblent pour l’abstention sont les gens du pouvoir qui assurent qu’ils tiennent tel et tel fief, tel et tel patelin car après les résultats, ça va chauffer pour eux. C’est le seul enjeu de cette affaire car pour l’abstention le pouvoir pourra donner l’exemple de la France où le premier parti de France est celui de l’abstention…
De là qu’en France comme ailleurs, il est peut-être temps de penser sérieusement à rendre le vote obligatoire car on ne peut pas se dire libre ou pas de voter et n’avoir pas le choix de payer ses impôts ni de choisir celui qui les fixe ou qui dirige le pays. C’est absurde.
Nous en avions déjà parlé voir cet article :
« Et si Aziz rendait le vote obligatoire comme en Belgique, Australie, brésil, Luxembourg et dans bien d’autres pays ? »
http://chezvlane.blogspot.com/2013/07/et-si-aziz-rendait-le-vote-obligatoire.html
vlane.a.o.s.a
lundi 29 juillet 2013
Et si Aziz rendait le vote obligatoire comme en Belgique, Australie, Brésil, Luxembourg et dans bien d’autres pays ?
Ayant la majorité à l’assemblée, le pouvoir pourrait
faire voter une loi obligeant les citoyens à voter sous peine de sanctions sous
forme d’amendes à tropicaliser plus ou moins légères jusqu’à 50 euros ou
dollars en Belgique et en Australie mais sévères au Luxembourg jusqu’à 1000
euros en cas de récidive quand en Bolivie, les fonctionnaires qui ne prouvent
pas qu’ils ont voté risquent de ne pas recevoir leur salaire ou comme au Brésil
qui prévoit aussi de ne pas délivrer de passeport à ceux qui ne votent pas,
pareil pour la Grèce où en plus du passeport c’est le permis de conduire qui
vous est refusé si vous n’avez pas voté.
L’abstention dans les pays riches
démocratiques est un luxe catastrophique dont le tiers-monde paye les cartons
car le premier parti est celui des abstentionnistes pendant ce temps une
minorité, toujours la même, dirige. Quand on est fier et objecteur de
conscience, comment ne pas voter et être ensuite obligé de payer les impôts
fixés par les élus ? Si vous ne votez pas, refusez de payer les impôts si vous
osez ce qui vous mènera en prison si tous vos biens saisis ne suffisent pas à
payer. Ceux qui ne votent pas donnent pour argument qu’ils voudraient que le
vote blanc soit comptabilisé de sorte qu’en cas de majorité de vote blanc
tous ceux qui se sont présentés ne puissent plus occuper l’espace. C’est un
débat qui mérite d’être ouvert en attendant ne pas voter et payer ses impôts
est une aberration.
Si tout le monde était obligé de voter, tout le monde se
sentirait concerné et surtout ni le pouvoir ni l’opposition ne pourrait dire
que telle frange de la population ne vote pas donc s’occuper d’elle est une
perte de temps, d’énergie et de moyens car les élus veulent être réélus aussi
au lieu de ne s’occuper que de la minorité qui se passe le pouvoir, il leur
faudra s’adresser et s’occuper de tout le monde.
En Mauritanie le vote obligatoire ne peut arranger qu’un
pouvoir qui tient à une légitimité populaire sans équivoque, un pouvoir qui ne
craindrait pas les urnes. Fini alors la menace du boycott de l’opposition.
C’est une mesure importante qui ferait un excellent effet mais c’est un couteau
à double tranchant que ne peut manier que le courage politique qui se fait
encore attendre.
En attendant, voici une mesure simple qui pourrait
inciter la population majoritairement très pauvre à aller prendre sa carte
d’électeur : rembourser les 1000 un pris quand on lui délivre la carte
d’identité. Si à cela on ajoute des mesures incitatives efficaces
comme on le voit dans d’autres pays, tout le monde ira très vite prendre sa
carte d’électeur et surtout voter. On a vu ça avec l’affaire des passeports,
tout le monde a dit son mot mais tout le monde est allé chercher le précieux
sésame. Reste une question, vu que tout est informatisé pourquoi
l’enregistrement sur les listes électorales ne se fait pas
automatiquement quand on est en âge de voter comme en France ou ailleurs ?
Pour le reste, à méditer, le vote obligatoire dans
d’autres pays :
« On parle de vote obligatoire dans les pays où ne pas se
rendre aux urnes un jour de scrutin est passible de sanctions. Voici certains
des pays où cette obligation existe.
1-
Australie :
L’article 101 de la loi électorale rend l’inscription sur
les listes électorales obligatoire et l’article 245, quant à lui, rend
obligatoire la présence à tous les votes (élections nationales, c’est-à-dire l’élection
de députés et de sénateurs, et référendums). Ce même article prévoit les motifs
d’abstention possibles :
•
Déplacement hors de l’Australie
•
N’importe quelle raison jugée valable par l’administration.
En contrepartie certaines personnes peuvent voter par
correspondance ou par anticipation. La loi électorale facilite également le
vote, d'une part, par la mise en place de bureaux de vote mobiles dans certains
hôpitaux, dans les prisons et dans les circonscriptions isolées et, d'autre
part, en permettant à certains électeurs qui ne peuvent accéder à leur bureau
de vote en raison d'un handicap physique, d'une maladie ou d'une grossesse
avancée de voter à proximité immédiate de ce bureau.
Si le citoyen ne s’est pas inscrit sur les listes
électorales il est passible d’une amende de 50 dollars australiens (~28€). Ceux
qui n’ont pas voté sans excuse valable devront payer 20 A$ (~11€). Si
l'électeur défaillant refuse de payer cette amende, des sanctions
supplémentaires peuvent lui être appliquées. Elles varient selon l'État ou le
Territoire dans lequel l'affaire est jugée et peuvent consister en des travaux
d'intérêt général, en la saisie de biens ou en une courte peine de prison. Dans
certains cas, la sanction est obligatoirement une peine de prison. Par
l'application de cette loi, l’Australie a divisé par 5 son taux d’abstention
depuis 1923.
2-
La Belgique :
Le vote est obligatoire en Belgique depuis 1894. Cette
mesure avait pour but de rendre possible le vote de tous et surtout de la
classe la plus pauvre sans aucune pression. Un patron ne pouvait pas imposer un
jour de travail pendant un scrutin pour empêcher ses ouvriers de se rendre aux
urnes.
Concrètement, l'article 62 de la Constitution belge (coordonnée le 17 février 1994) dispose que "Le vote est obligatoire et secret.".
Un électeur qui ne se rend pas aux urnes peut se voir infliger une amende de 25 à 50 €, et jusqu'à 125 € en cas de récidive. Si l’électeur ne se présente pas à 4 reprises dans un délai de 15 années, il sera rayé des listes électorales pour 10 ans. En outre, pendant ce laps de temps, il ne peut recevoir aucune nomination, ni promotion ou distinction d’une autorité publique. Dans la réalité, aucun Parquet ne poursuit les électeurs qui ne sont pas allés voter, notamment en raison de l'encombrement des tribunaux, ce qui n'est pas vrai par contre pour les assesseurs qui n'ont pas justifié préalablement leur absence au bureau de vote.
Le 3 mars 2010, le Ministre de la Justice Stefaan De Clerck (CD&V), répondant à deux questions parlementaires, a déclaré en commission de la Justice de la Chambre des représentants que "La poursuite des personnes qui ne respectent pas l'obligation de se présenter au bureau de vote ne constitue pas une priorité dans le cadre de la politique en matière de poursuites" (...) "Entamer des poursuites contre des citoyens qui ne respectent pas le vote obligatoire exigerait un énorme effort de la Justice, notamment parce que de telles poursuites devraient être entamées rapidement, eu égard aux délais de prescription." (...) "En cas d'élections, la priorité consiste, le cas échéant, à entamer des procédures contre ceux qui sont absents au niveau du bureau, de la présidence, etc., mais pas contre les électeurs." (...) "Entre-temps, ma vision personnelle a évolué et je suis convaincu que l’obligation de vote n’est plus réaliste. Dans tous les partis, on compte des partisans tant de sa suppression que de son maintien".
À la différence de ce qui se passe en France et dans les pays anglo-saxons, toute personne résidant légalement en Belgique est inscrite d'office dans un Registre national informatisé, à partir duquel sont tirées, à la date de clôture, les listes d'électeurs. Tout citoyen qui remplit les conditions au moment de la clôture des listes est donc d'office convoqué aux élections. Par ailleurs, la loi fait obligation à toute personne résidant en Belgique de signaler aux autorités communales tout changement d'adresse dans un délai de 8 jours, la nouvelle adresse est alors encodée au Registre national, l'électeur n'a donc aucune démarche spécifique à effectuer pour être convoqué à son adresse de résidence.
Actuellement, seuls les partis flamands de droite (Open VLD4, CD&V), ainsi que le Parti Populaire - PersonenPartij (non représenté au Parlement), ont inscrit dans leurs programmes la suppression de l'obligation de vote (stemplicht). Les partis francophones et la gauche flamande (SP.A, Groen!) y sont opposés pour des motifs tant idéologiques que stratégiques, notamment la crainte de mobilisation d'un électorat radical et de démobilisation d'un électorat populaire. Ce débat est récurrent dans les médias flamands, et totalement absent des médias francophones. Un des arguments avancés côté flamand est que les étrangers ont un droit de vote (stemrecht), puisqu'ils choisissent librement de s'inscrire ou non sur les listes électorales communales (mais sont soumis à l'obligation de vote une fois inscrits sur les listes), alors que les Belges seraient soumis à une obligation de vote (stemplicht), ce qui constituerait une discrimination envers les Belges.
Concrètement, l'article 62 de la Constitution belge (coordonnée le 17 février 1994) dispose que "Le vote est obligatoire et secret.".
Un électeur qui ne se rend pas aux urnes peut se voir infliger une amende de 25 à 50 €, et jusqu'à 125 € en cas de récidive. Si l’électeur ne se présente pas à 4 reprises dans un délai de 15 années, il sera rayé des listes électorales pour 10 ans. En outre, pendant ce laps de temps, il ne peut recevoir aucune nomination, ni promotion ou distinction d’une autorité publique. Dans la réalité, aucun Parquet ne poursuit les électeurs qui ne sont pas allés voter, notamment en raison de l'encombrement des tribunaux, ce qui n'est pas vrai par contre pour les assesseurs qui n'ont pas justifié préalablement leur absence au bureau de vote.
Le 3 mars 2010, le Ministre de la Justice Stefaan De Clerck (CD&V), répondant à deux questions parlementaires, a déclaré en commission de la Justice de la Chambre des représentants que "La poursuite des personnes qui ne respectent pas l'obligation de se présenter au bureau de vote ne constitue pas une priorité dans le cadre de la politique en matière de poursuites" (...) "Entamer des poursuites contre des citoyens qui ne respectent pas le vote obligatoire exigerait un énorme effort de la Justice, notamment parce que de telles poursuites devraient être entamées rapidement, eu égard aux délais de prescription." (...) "En cas d'élections, la priorité consiste, le cas échéant, à entamer des procédures contre ceux qui sont absents au niveau du bureau, de la présidence, etc., mais pas contre les électeurs." (...) "Entre-temps, ma vision personnelle a évolué et je suis convaincu que l’obligation de vote n’est plus réaliste. Dans tous les partis, on compte des partisans tant de sa suppression que de son maintien".
À la différence de ce qui se passe en France et dans les pays anglo-saxons, toute personne résidant légalement en Belgique est inscrite d'office dans un Registre national informatisé, à partir duquel sont tirées, à la date de clôture, les listes d'électeurs. Tout citoyen qui remplit les conditions au moment de la clôture des listes est donc d'office convoqué aux élections. Par ailleurs, la loi fait obligation à toute personne résidant en Belgique de signaler aux autorités communales tout changement d'adresse dans un délai de 8 jours, la nouvelle adresse est alors encodée au Registre national, l'électeur n'a donc aucune démarche spécifique à effectuer pour être convoqué à son adresse de résidence.
Actuellement, seuls les partis flamands de droite (Open VLD4, CD&V), ainsi que le Parti Populaire - PersonenPartij (non représenté au Parlement), ont inscrit dans leurs programmes la suppression de l'obligation de vote (stemplicht). Les partis francophones et la gauche flamande (SP.A, Groen!) y sont opposés pour des motifs tant idéologiques que stratégiques, notamment la crainte de mobilisation d'un électorat radical et de démobilisation d'un électorat populaire. Ce débat est récurrent dans les médias flamands, et totalement absent des médias francophones. Un des arguments avancés côté flamand est que les étrangers ont un droit de vote (stemrecht), puisqu'ils choisissent librement de s'inscrire ou non sur les listes électorales communales (mais sont soumis à l'obligation de vote une fois inscrits sur les listes), alors que les Belges seraient soumis à une obligation de vote (stemplicht), ce qui constituerait une discrimination envers les Belges.
3-
Bolivie :
En 1952, la Bolivie a commencé à donner des cartes aux
citoyens qui ont voté. Dans les trois mois suivant l’élection, les citoyens
doivent présenter ce justificatif pour accéder à leur salaire.
4-
Brésil
Au Brésil, le vote est obligatoire depuis 1932, de 18 à 65
ans. Les citoyens qui n'ont pas voté aux trois dernières élections doivent
payer une amende, sans quoi ils sont empêchés d'assumer une fonction publique
et ne peuvent pas se faire délivrer leur passeport. Les fonctionnaires doivent
présenter régulièrement leur carte d'électeur pour prouver qu'ils se sont bien
présentés aux élections.
5-
France :
L'inscription sur les listes électorales est obligatoire en
vertu de l’article L9 du code électoral, mais aucune sanction n'est prévue.
L'inscription est automatique si l'on est en âge de voter. En revanche, le
droit de vote est moralement un devoir pour les citoyens, comme le rappelle l’inscription
figurant sur les cartes électorales : « Voter est un droit, c’est aussi un
devoir civique ».
Toutefois le vote est obligatoire pour les grands électeurs
à l'occasion de l’élection des Sénateurs (environ 144 400 personnes). En effet,
l'article L 318 du code électoral prévoit la condamnation à une amende de 100
euros par le tribunal de grande instance du chef-lieu tout membre du collège
électoral qui, sans cause légitime, n'aura pas pris part au scrutin. Avant la
modification par l’article 11 de la loi n°2004-404 du 10 mai 2004 l’amende
était de 4 euros 50.
6-
Grèce
Il n’y a pas d’amende, mais ceux qui se sont abstenus ont
par la suite des difficultés pour obtenir un passeport ou un permis de conduire.
7-
Italie :
Le vote n'est plus obligatoire depuis 1993. Jusque-là, les
sanctions étaient administratives et non pas pécuniaires : l'électeur s'étant
abstenu était inscrit sur un registre pendant 5 ans, ce qui pouvait lui poser
des difficultés pour trouver un emploi dans l'administration publique ou pour
postuler à des charges électives (ce qui était toutefois relativement rare). Le
vote demeure cependant, au sens de la Constitution, une obligation civique et
éthique, mais aucune sanction n'est désormais appliquée en cas de non-vote.
8-
Luxembourg :
Au Luxembourg des lois obligeant de voter existent depuis
1924, mais elles ont été toutes unifiées dans un seul texte en février 2003,
texte qui reconduit simplement l’obligation d’aller voter. Toute personne âgée de
plus de 18 ans est inscrite d’office sur les listes électorales. Les électeurs
sont convoqués 5 jours au minimum avant le scrutin. Les électeurs de plus de 75
ans (Art. 89 paragraphe 2) qui ne vont pas voter sont excusés de droit et
peuvent voter par correspondance sans justification. Les personnes séjournant a
l’étranger ou absentes pour raisons professionnelles sont aussi excusées.
Les sanctions en cas d’abstention au Luxembourg sont très
dures depuis la loi de 1924 et ont été arrondis par la loi de 2003 :
•
De 100 à 250€ pour une première abstention non justifiée
•
De 500 à 1000€ en cas de récidive dans les 5 ans suivant la première faute.
9- Nauru
Dans cette ancienne colonie australienne, voter est
obligatoire. Les contrevenants s'exposent à une amende - de A$6 pour une
élection législative, et jusqu'à A$100 pour un référendum
10-
Pays-bas
De 1917 à 1970 le vote était obligatoire (néerlandais :
opkomstplicht). Depuis, le taux de participation est resté élevé aux
législatives (95,00 % en 1967, 79,12 % en 1971, 80,35 % en 2006, 75,40 % en 201016), par
contre il est très faible aux élections provinciales (46,40 % en 2007, 55,97 %
en 201116) et européennes (39,26 % en 2004, 36,75 % en 200916), et il a
fortement diminué aux communales (93,35 % en 1966, 69,07 % en 1974, 58,56 % en 2006, 54,13 % en 201016).
11-
Roumanie
En avril 2012, le Sénat roumain a approuvé une proposition
de loi instaurant une amende de 250 euros à l'encontre des abstentionnistes,
elle doit encore passer devant la Chambre des députés
12-
Suisse :
Dans le canton de Schaffhouse, une amende est notifiée au
citoyen qui ne se rend pas aux urnes. »
( source wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Vote_obligatoire
)
vlane.a.o.s.a
3 commentaires:
Anonyme a dit…
Une legere erreur: vous avez ecrit la meme chose
pour l'Australie et la Belgique(art.101 et 245)
Anonyme a dit…
merci de me prévenir. c'est corrigé. Bonne
journée
Anonyme a dit…
nous lui repondrons simplement : à quoi servent
nos élus si ce n'est d'aller chercher leurs salaires exorbitant à la fin de
chaque mois, que servent nos élus si les plus pauvres des mauritaniens n'ont
pas accés à la santé à l'éducation et n'arrivent pas à manger à leurs fin,
nous lui repondront que nos élus qu'autionnent le fait que ces pauvres n'ayant pas à la sécurité sociale, quand des fonctionairent bien nantis, qui ne sont là que comme fulgurant ont cette carte de CNAM alors que le pauvre mauritanien lui n'en n'a pas droit,
nous lui repondront, que des criminels ne sont tjrs pas jugés et pourtant ils sont dans l'emicycle,
nous lui diront que des marchés sont devenus le defctoire de toutes les poubelles et que nos maires ne ns servent à rien, à sauf à consommer de faramineux sommes cherhcé à l'etranger au nom du pauvre mauritanien,
nous lui diront que la vie est trés chere et qu'une famille moyenne n'a plus la chance de manger bien et bon, que nous servent nos élus, quand certains fils de la mauritanie, ont accés aux grandes écoles quand ils ne veulent etudier à l'exterieur, et que le mauritanien pauvre son fils ou sa fille devrait se contenter d'une classe de 80 éléves avec des enseignats médiocres et absenteits,
nous lui dirons, que nous n'avons pas envie de voter Zeid pour detroner Amr, quand tous deux ne cherche que le salire, et enfin nous lui diront de simplement suprimer tous ces élus qui se pavanent dans de grosses voiture et des villas, alors que ceux qui les ont voté pour qu'ils accedent à ces avantages meurt de fin, pourquoi voter??? pour que Amr ait un salaire et que il ait a sa possession la carte CNAM et moi le pauvre mauritanien???? je ne vote pas
nous lui repondront que nos élus qu'autionnent le fait que ces pauvres n'ayant pas à la sécurité sociale, quand des fonctionairent bien nantis, qui ne sont là que comme fulgurant ont cette carte de CNAM alors que le pauvre mauritanien lui n'en n'a pas droit,
nous lui repondront, que des criminels ne sont tjrs pas jugés et pourtant ils sont dans l'emicycle,
nous lui diront que des marchés sont devenus le defctoire de toutes les poubelles et que nos maires ne ns servent à rien, à sauf à consommer de faramineux sommes cherhcé à l'etranger au nom du pauvre mauritanien,
nous lui diront que la vie est trés chere et qu'une famille moyenne n'a plus la chance de manger bien et bon, que nous servent nos élus, quand certains fils de la mauritanie, ont accés aux grandes écoles quand ils ne veulent etudier à l'exterieur, et que le mauritanien pauvre son fils ou sa fille devrait se contenter d'une classe de 80 éléves avec des enseignats médiocres et absenteits,
nous lui dirons, que nous n'avons pas envie de voter Zeid pour detroner Amr, quand tous deux ne cherche que le salire, et enfin nous lui diront de simplement suprimer tous ces élus qui se pavanent dans de grosses voiture et des villas, alors que ceux qui les ont voté pour qu'ils accedent à ces avantages meurt de fin, pourquoi voter??? pour que Amr ait un salaire et que il ait a sa possession la carte CNAM et moi le pauvre mauritanien???? je ne vote pas
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