jeudi 22 août 2013

et déjà un candidat, anti-boycott, aux prochaines élections législatives - pour une excellente réélection du général Mohamed Ould Abdel Aziz

Programme Electoral de Mr Isselmou Ould Hanefi mandataire de la liste « La Mauritanie Unie » dans le cadre de la participation de l’Union Sociale Démocratique aux élections législatives et municipales de novembre 2013 Nouakchott-Mauritanie

Liste candidate aux élections parlementaires d’octobre 2013 en Mauritanie
Programme Electoral de Mr Isselmou Ould Hanefi  mandataire de la liste « La Mauritanie Unie » dans le cadre de la participation de l’Union Sociale Démocratique aux élections législatives et municipales d’Octobre 2013 Nouakchott-Mauritanie

 Chers Concitoyens,
Chères électrices, Chers électeurs,
Les élections législatives et municipales auraient lieu en novembre 2013, vous êtes appelés aux urnes à l’occasion d’un nouveau rendez-vous républicain que nous souhaitons inédit pour notre Pays : celui de l’élection de vos députés. Car, pour la 14éme fois depuis 1958, les électeurs en Mauritanie vont élire leurs représentants  à l’Assemblée nationale directement issu de leurs populations. Cette année plus que par le passé les données de l’enrôlement national lancées en mai 2011 serviront de bases fiables pour la réussite des opérations électorales.
  Certes, cette élection est complexe car elle survient dans un contexte politique  tendu, économiquement difficile et socialement troubler : Au point que les réalités et les  enjeux  dans notre Pays sont  devenues différents et compromettant pour la cohésion sociale déjà très fragile de nature. Une telle situation constitue  un défi majeur pour le futur député que je suis : Car, l’objectif viser par ma candidature est celui de  parler, d’une voix forte et  audible  à l’intérieur de l’hémicycle parlementaire pour poser les problèmes réels du citoyen mauritanien
Madame Mariame Diallo fervente défenseur de la qualité de vie des populations pauvres et imminente activiste de la société civile sera à mes cotés dans ce nouveau combat comme suppléante. Nous nous sommes engagés de porter dignement les couleurs de la société civile  et de renforcer notre coopération  au niveau qui nous permettra de mieux rassembler toutes les forces vives et actives autour de nous dans le but d atteindre l’objectif rechercher.
Madame Mariame Diallo et moi-même, soutenus par plusieurs réseaux de la société civile mauritanienne  et candidats à la demande d une forte  masse  des populations vulnérables, avons pris cette décision historique. Parce que notre Pays est à la croisée des chemins aujourd’hui, exige de tous ceux ou celles de ses fils qui ont quelques choses à apporter d’êtres au rendez-vous  et c est ce que nous avons choisis de faire.
 Cette candidature constitue pour nous la base d’un programme électoral ambitieux, dont les axes sont essentiels pour le respect et la défense des intérêts respectifs et communs, actuels et à venir de nos populations.
Rien que pour de l’intérêt général et pour vous tous, électrices et électeurs de la République Islamique de Mauritanie Madame Mariame Diallo et moi-même, nous nous engageons sur les axes et fondements  retenus dans l’élaboration de notre programme et, que nous vous invitons à découvrir.
 Ce nouveau combat électoral répond à une démarche d’engagement pour notre Pays et non d’ambition personnelle. Je me porte candidat à ces élections législatives, animé de la détermination que vous me connaissez à porter une vision politique différente, juste, au service toujours de l’intérêt général et du progrès collectif pour la Mauritanie. Les évènements des dernières années, le blocage politique actuel, les tensions socioculturelles, les problèmes de chômages, les difficultés économiques, l’insécurité l’éducation, l’immigration, le contexte de crise mondiale qui frappe notre Pays de plein fouet, me poussent à avoir une lecture réaliste du monde qui nous entoure. Cette fonction de député que je brigue aujourd’hui, je l’envisage comme une mission d’engagements et d’actions, sur l ensemble du territoire national. Je sais le désarroi de nos populations pour la chose politique, pour nos dirigeants, pour notre élite, de nos électeurs, fatigués de vaines promesses électorales, et du monopole de la politique chez-nous par une vielle classe politique dépassée et obsolète : aussi est-ce un véritable contrat, avec obligation de résultats, que je souhaite passer avec les électeurs de mon Pays  pour la prochaine  législature.
Je ne transigerai pas avec mes principes : transparence, combativité et exemplarité sont les mots d’ordre de mon engagement politique, en tant qu’élu local et comme représentant du peuple demain à l’assemblée nationale. J’ai confiance en l’avenir de la Mauritanie, j’ai confiance en vous !
Je ferai du rétablissement de votre confiance à travers les grands axes qui sont le fil conducteur de mon programme pour ces législatives mon véritable credo:
  • Rétablir la confiance dans l’homme mauritanien  et  faire évoluer le respect de la chose publique et l’environnement ;
  • Rétablir la confiance dans la jeunesse et travailler sur son adhésion au processus politique, économique et sociale en cours dans le Pays ;
  • Assainir et moraliser la vie  politique, rétablir la confiance dans nos élus locaux et nationaux ;
  • Rétablir la confiance et réconcilier les citoyens  avec nos institutions garantes de notre Constitution ;
  • Rétablir la confiance dans l’économie à travers une lutte régulière et soutenue contre la mauvaise gouvernance économique.

L’ÉDUCATION, LA FORMATION, LA JEUNESSE
Dans notre Pays  en moyenne, plus de 61 % de la population à moins de 25 ans : la jeunesse constitue un atout majeur pour le présent et l’avenir de la Mauritanie. Les jeunes veulent réussir et se faire une place dans la société. Ils sont nombreux à s’engager dans la vie économique, associative ou dans des actions citoyennes, contribuant ainsi à construire pour demain.
Nous tous – responsables politiques, parents, acteurs de la vie associative, éducative ou professionnelle – sommes convaincus qu’il est possible de mettre en œuvre, avec pragmatisme et détermination, des solutions qui donneront à notre jeunesse la place qui lui revient dans notre société.
Les fractures qui divisent la société locale sont encore plus cruelles pour les adolescents et les jeunes adultes. Plus que leurs aînés, ils sont victimes de la précarité de l’emploi, des discriminations à l’embauche, des difficultés de financement et d’accès à la formation, etc.
Pour les aider à surmonter tous ces obstacles, il est indispensable de leur laisser toute la place qui leur est due, leur donner la parole, afin que les décisions et les actions qui les concernent soient construites avec eux. C’est le rôle du gouvernement, donc de l’ensemble des parlementaires et des responsables politiques locaux.
Les questions de l’emploi, de la formation et de l’insertion professionnelle de nos jeunes sont naturellement au cœur de nos priorités.
Élu député, j’interpellerai le gouvernement sur :
  • La nécessité d’accompagner les élus locaux, les autorités, les acteurs du monde de la formation afin de créer un cadre approprié, en faveur de l’apprentissage des jeunes ;
  • Je demanderai que les moyens nous soient donnés afin d’inciter les organismes et établissements publics et privés à embaucher des jeunes en contrat régulier ou  d’apprentissage ;
  • Je reprendrai le dossier des financements de la formation professionnelle continue et me battrai pour permettre la création d’un organisme paritaire indépendant de collecte des fonds de la formation (le 1% payé annuellement par nos entreprises à Nouakchott et à Nouadhibou) ;
  • Sur le retour de l’enseignement fondamental et secondaire au domaine public, je serai porteur d’un dossier en accord avec les autres élus..
  • Cela va de pair avec la lutte contre le décrochage scolaire et la lutte contre l’illettrisme qui passent par la création d’un réseau mobilisant l’ensemble des services sociaux concernés afin de repérer et de prendre en charge rapidement les élèves identifiés. Je demanderai au Ministre en charge de l’Éducation Nationale de nommer une commission d’enquête pour  identifier les vraies causes de l’échec scolaire dans nos différents établissements et singulièrement à Nouakchott et à Nouadhibou pour définir les moyens à mettre en œuvre pour garantir à nos enfants une éducation de qualité, prenant en compte notre pluralité et notre  spécificité socioculturelle ;
  • Je relancerai le dossier de la cohésion sociale de manière à reposer les problèmes et les discutés autrement dans le but de reconstruire en dur l unité national.
  • Je défendrai l’obtention d’un rectorat de plein exercice  et avec des pouvoirs plus élargis pour notre Pays ;
  • Je plaiderai en faveur d une plus grande participation de la société civile  dans la réflexion, la conception, l’élaboration, l’exécution et le suivi  des politiques de développement  économiques et sociales du Pays ;
  • Je plaiderai en faveur d une armée forte, professionnelle et républicaine.
  • Je plaiderai en faveur d une plus grande implication des femmes dans la vie politique et la gouvernance du Pays ;
  • Je plaiderai en faveur de la mise en place d une classe politique dynamique citoyenne pacifique et apaisée ;
  • Je plaiderai en faveur d’enracinement de la culture démocratique et du principe de l alternance politique ;
  •  Je plaiderai naturellement en faveur d’une véritable réforme de la justice et d’une adhésion totale de toutes nos forces vives à celle-ci ;
  • Je combattrai avec toute la force et la rigueur qui seront en ma possession contre toutes les formes d’inégalités et de discriminations sociales entre nos citoyens ;

La situation économique de la Mauritanie
La situation économique en Mauritanie n’a cessé de se dégrader depuis ces dernières années. Les conséquences sociales et sociétales se traduisent au quotidien par l’accroissement d’un
Chômage endémique et le développement de la précarité chez les populations les plus fragiles, l’écart ne cesse d’augmenter entre riches et pauvres, la diminution des immatriculations de nouvelles entreprises et l’augmentation des dépôts de bilan ont été fortement constatés ses dernières années. Le retard de la mise en place d une réelle décentralisation dans le Pays  est la principale cause  des   déséquilibres régionaux
Élu député, j’interpellerai le gouvernement sur :
  • La mise en place d une réelle politique de décentralisation  qui permettra à nos différentes Wilayas de se voir transférer des pouvoirs plus importants dans la gestion de leurs affaires ;
  • L’amélioration, la réhabilitation et la sécurisation des pôles touristiques.
L’aide aux entreprises et aux commerces:
  • L’allègement, voire la suppression des dettes sociales et fiscales ;
  • La formation de haut niveau pour permettre l’accès de nos jeunes à des emplois qualifiés.
LES SECTEURS DE L’AGRICULTURE, DE LA PÊCHE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE
Dans notre Pays et singulièrement à Nouakchott, force est de constater que les secteurs de l’agriculture et de la pêche, qui sont partout ailleurs des secteurs productifs par essence, susceptibles d’assurer une certaine autosuffisance alimentaire et particulièrement générateurs d’emplois qualifiés, doivent êtres mieux reconsidérer dans la formulation et la mise en œuvre des politiques publiques. L’agriculture en particulier est un  secteur  qui représente un potentiel totalement sous-exploité depuis des années. En effet, les denrées agroalimentaires consommées sur notre territoire, nous viennent essentiellement de l’étranger.
Et pourtant, nous ne manquons pas d’atouts.
Élu député, j’interpellerai le gouvernement pour :
  • Accélérer et amplifier le processus du « Zonage » et la protection des terres à vocation agricole dans sur la rive droite du fleuve Sénégal ;
  • Mettre en œuvre la procédure de récupération et mise en valeur des terres incultes ;
  • Cette action permettra de mettre à disposition des terres et de nouveaux espaces pour faciliter l’installation de jeunes exploitants en manque de foncier.

Les Ressources des Industries extractives
La gestion des industries extractives comporte des risques sérieux. En Mauritanie, les Industries extractives connaissent une évolution récente et méritent de faire l'objet d'une gestion prudente saine et sage pour éviter les dérapages malheureux.
L'activité minière existe en Mauritanie depuis 1963 avec, principalement, l'exploitation d'un seul minerai (le fer de la Kedia d'ldjil puis dans les Guelbs et M'Haou¬dat). La mise en exploitation, en 2006, de la mine de cuivre par First Quantum MineraIs Ltd à travers sa filiale basée en Mauritanie (Mauritanien Copper Mines-MCM), contribue à l'effort de diversification de l'activité minière. Par ailleurs, le développement en cours de la mine d'or de Tasiast par Rio Narcea, à travers sa filiale basée en Mauritanie (Tasiast Mauritanie Ltd - TML), ajoute à cette diversification avec son entrée en production  en 2007. En plus,  des travaux avancés d'exploration cours par divers opérateurs miniers pour d'autres substances minérales.
Le démarrage de la production pétrolière en fin février 2006 s'avère en deçà des expectatives. Il a eu déjà un impact positif sur la croissance économique en Mauritanie. Ainsi avec le  fer, l’or, le cuivre, le pétrole et le gaz la Mauritanie possède un potentiel de ressources naturelles significatif. Si l’industrie minière est déjà très ancienne, les premières découvertes pétrolières ont à peine dix ans, et plusieurs projets sont actuellement en développement. S'arrêter sur ces secteurs stratégiques en expansion pour l’économie mauritanienne est nécessaire alors que le climat politique et sécuritaire dans le Sahel est plus qu’incertain. (fer, or, cuivre, pétrole  gaz, pêche, agriculture et tourisme) sont autant de richesses que la Mauritanie peut utiliser efficacement au profit de l amélioration de la qualité de vie de ses populations. Et, la base des exportations dont  l’industrie minière (fer, cuivre, or et Pêche) représente près de 80 % du total des exportations de la Mauritanie. Le climat des affaires s’est dégradé, la Mauritanie a perdu 8 places et figure désormais au 167ème rang du classement Doing Business 2013.

Élu député, j’interrogerai le Gouvernement sur :
  • Une plus grande transparence de la gestion de nos industries extractives ;
  • Une plus grande rigueur dans les négociations des contrats d’exploitations avec nos partenaires dans les domaines des industries extractives.
  • Un suivi strict sur les impacts environnementaux  de la gestion et l exploitation des sites objets de contrats avec nos partenaires ;
  • Le suivi de la valeur ajoutée de toutes exploitations minière sur la qualité des infrastructures,  celle de l amélioration des conditions de vies de nos populations ainsi que le respect de la législation  vigueur sur les droits de la main d œuvre nationale.

LA SANTÉ PUBLIQUE
Les projections établies en 2 010 par l’Office National de la Statistique (ONS) font ressortir que la population mauritanienne s’élève à 3 340 627 personnes (dont 1 678 324 hommes et 1 662 303 femmes) avec un taux de croissance de 2,4% et une densité de 3,2 habitants/Km2 avec des disparités, selon les régions. Sur cette population, plus de 61% ont moins de 25 ans et le groupe mère - enfant représente 66%. Le taux d’espérance de vie à la naissance était, en 2009, de 57 années (55 ans pour les hommes et 60 ans pour les femmes), et les taux, au niveau national, de mortalité infanto – juvénile et de mortalité infantile se sont établis, en nombre pour mille, respectivement à 122 et 77 en 2007. En outre, l’indice synthétique de fécondité (4,6% en 2007 contre 4,7% en 2000) et le taux d’usage de la contraception (9,3% en 2007 contre 5,1% en 2000) sont demeurés pratiquement stables ou ont progressé légèrement depuis une dizaine d’années.
Élu Député, j’interpellerai le gouvernement pour :
Je m’engage  à être le porte voix de la santé de nos populations et de faire suivre les efforts publics en matière de sante à l’évolution des besoins.
Je plaiderai en faveur d’une augmentation sensible des infrastructures sanitaires au niveau de nos différentes Wilayas.
Aussi, je ne transigerai pas sur les ressources humaines indispensables pour la qualité de la santé du citoyen par l’amélioration de leur niveau de qualification technique et celle de leur condition de vie.
L’IMMIGRATION IRRÉGULIÈRE EN MAURITANIE
Dans notre Pays, l’immigration irrégulière est un phénomène préoccupant, facteur d’insécurité et qui menace notre cohésion sociale. Nous devons combattre efficacement ce phénomène, dans le pur respect des valeurs républicaines et des droits universels de l’Homme et du citoyen.
Élu député, je prendrai ce dossier de la lutte contre l’immigration irrégulière à bras le corps, en exigeant du gouvernement :
  • Un renforcement des moyens de lutte contre l’immigration clandestine pour la maîtrise des flux migratoires à Nouakchott et à Nouadhibou ;
  • Un contrôle plus strict de nos des frontières  maritimes et terrestres.
  • Des moyens humains et matériels renforcés pour la lutte contre les réseaux d’aide à l’entrée et au séjour des immigrés clandestins (fraude documentaire) ;
  • La délivrance de visas et aide au développement conditionnés en fonction des efforts de coopération des pays d’origine pour le retour des immigrés illégaux ;
  • Le contrôle accru de l’aide médicale d’État pour les étrangers en situation irrégulière sur nos territoires.

EN MATIÈRE D’INSÉCURITÉ
Si les chiffres de la délinquance sont bien meilleurs aujourd’hui, grâce au travail de nos forces de l’ordre, le sentiment d’insécurité persiste, notamment à Nouakchott et NDB. La sécurité est l’affaire de tous : la sécurité des personnes, des institutions, des biens doit être assurée sur notre territoire.
Élu député, je ferai mon cheval de bataille de ces dossiers :
  • Le renforcement des moyens humains et matériels pour la lutte contre la criminalité organisée, la grande délinquance et les trafics de drogue ;
  • Le maintien de l’ordre public.

La ZONE FRANCHE
La Zone Franche de Nouadhibou ne doit pas être dictée que par des impératifs purement économiques ou  politiques.  Nous savons déjà qu’ne zone franche est une zone géographique d'un pays bénéficiant d'avantages tels que l'exonération de charges fiscales. Les règlementations sociales, environnementales et de l'emploi y sont favorables à certains types de projets économiques. Les entreprises qui s'y installent bénéficient d'un régime de faveur par rapport à celles qui travaillent dans l'environnement fiscal et règlementaire normal.  Si cette compréhension de la Zone Franche est bonne il va de soit que les trois mots clés de cette définition qui sont « défiscalisation », « déréglementation » et « débureaucratisassions » ne constituent pas un argumentaire solide exclusif pour la ZONE FRANCHE. Reste bien sur les intérêts moraux, spirituels et socioculturels de nos citoyens dont je me porterai une fois élu garant de leurs défenses.   

 Commentaires   
 
0 #1 Hampate Ba 23-08-2013 02:01
Salut, votre programme est alléchant. Mais il pousse le lecteur a de nombreuses questions.
Etez vous candidat à une élection législative ou présidentielle?

Je pose cette question car votre programme ressemble plus à un programme présidentielle.

Un député doit légiférer et ensuite défendre les intérêt de la population de la moughataa qui a voté pour lui.

Mais bon sinon ça peut aller. Sauf que il vous faut beaucoup d'argent, car vous risquez d'être confronté aux achats de conscience.

Bon vent cher ami.

Aucun commentaire: