samedi 19 avril 2014

journal de maintenant - samedi 19 avril 2014

Ce que je reçois, que je ne crois pas seulement impressionniste.
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From:
Sent: Saturday, April 19, 2014 12:31 PM
Subject: Re:
C'est vraiment inquiétant, car si les choses continuent sur cette voie, il y aura bientôt Nouakchott dans le cercles infernal de Bangui et Bamako. Les haratines, toutes tendances confondues, marchent le 29 avril. Tous, même les plus politiques et donc les plus conscient de la vanité et de la dangerosité de ses thèses et discours incendiaires, approuvent secrètement Biram. L'armée est rendue impotente de corruption et de compromission, le pillage des ressoruces est à ciel ouvert et le népotisme révolte désormais les simples marchands ambulants que les parents du général empêchent de gagner leur pain quotidien.
Le ciel de notre pays est orageux.
et dialogue de maintenant



----- Original Message -----
From:
To: keija
Sent: Saturday, April 19, 2014 11:22 AM

Bonjour,
Au sujet de la Mauritanie, qui nous intéresse tous deux : Comment comprenez vous qu’une une classe dirigeante (pouvoir et opposition)  puisse s’enfermer dans un climat  politique de  transition perpétuelle,  qui la met à la merci de pays étrangers, dont le nôtre ?
----- Original Message -----
To: 
Sent: Saturday, April 19, 2014 4:55 PM
Subject: Re:

Je ne le comprends pas, mais le premier responsable est l'homme en place : c'est de lui que dépend le climat. Moktar Ould Daddah pendant vingt-et-un ans a toujours fait et su faire bouger les lignes en ralliements comme en oppositions nouvelles, etc... Elections à candidature unique et listes uniques, mais franchise. Sous les régimes autoritaires depuis 1992, la participation d'autres candidatures est un masque pour une élection ou réélection certaine dès le premier tour. En revanche, le pouvoir jusqu'en 1978 était partagé avec tous, offert à tous, surtout aux jeunes générations, mais même aux vieilles (ainsi la composition du rnier bureau politique avec ses membres de droit intégrant le patronat notamment... Cheikhna Ould Mohamed Laghdaf, qui le lendemain du putsch sera ministre des colonels, pour ensuite en 2001 forcer les mêmes au retour du Président, en faisant circuler avec succès une pétition, quoique finalement inutile.

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