jeudi 29 janvier 2015

une autre lecture de la dialectique historique de la Mauritanie ? - intuition


La Mauritanie frémit, mais plus dans le sens conventionnel politique ou même social, selon des registres assez aisé à ouvrir ou à compiler. C'est presque dans le sens des idées : la question d'une lecture des textes essentiels de l'Islam en regard des persistances des pratiques esclavagistes, plus que tolérées par le pouvoir actuel, n'est pas la seule à occuper les esprits. Sans que le sang soit répandu en répression des diverses manifestations ou tentatives de "sit-in", sans que la presse indépendante soit à proprement parler censurée, il y a une tendance à vouloir contrôler et reprendre le mouvement de l'opinion : celle-ci est lassée de la corruption avérée de MoAA et de sa parentèle, lassée des analyses intéressées et personnalisées pour sanctionner telle banque, s'approprier tel marché, compromettre tel autre : société ou personnalité, et elle est inquiète de la dégénérescence des problèmes que le pouvoir laisse pourrir : rôle de la religion établie, esclavage, harratin, etc...  car elle tient à cette unité nationale qui ne va pas de soi et cependant perdure (mémoire et acquis de la fondation par Moktar Ould Daddah)

En regard, tout se passe comme si MoAA était inquiet. Pour la première fois sans doute depuis son coup initial.
 

Et ce que je reçois d'un de mes correspondants qui annote et confirme l'analyse de Vlane. A noter : selon mon correspondant, le cerveau est Ghazouani, le profiteur et exécutant est MoAA. Le condamné pour apostasie est le fils du préfet de Nouadhibou, au moment de la parution de son texte.
 

 Pour celui qui suit les méthodes conçues par Ghazouani et mises en œuvre par MOAA ! il sait que ces 2 minables mecs qui pratiquaient et pratiquent encore quand ils le peuvent, au grand jour ou en début de nuit, le trottoir à Nouakchott pour piquer des prostituées et qui ont été pris en flagrant délit plusieurs fois par des policiers (d'où le complexe de MOAA avec la police qu'il veut liquider ou marginaliser) ... ces 2 mecs ont pris habitude et goût à berner les analphabètes de Mauritanie et les chancelleries occidentales, la française en particulier, en instrumentalisant l'Islam depuis le début et ils continuent à le faire.  Leur niveau et centre d intérêt : sexe et argent. Le reste : instrumentalisation et faux semblant.


Il instrumentalise la sécurité en jouant sur la phobie des gens ....terrorisme,qu'ils créent, contrôlent manipulent et ça continue. Les slogans : bonne gouvernance, c'est pour les bailleurs de fonds 
Au début, ils ont fait campagne ici concentrée et orientée vers les coopérants et services français, et leur ambassade pour présenter Sidioca comme l'ami des terroristes : la preuve, la mosquée construite à la présidence, sa prière le vendredi, l'agrément du parti islamiste. Ils ont su conquérir sympathie et soutiens des Français d ici de + en + ayant bas niveau, parce que accrédités auprès des gens bas niveau 
Chaque fois que les choses se compliquent ils jouent cette carte Islam à laqu'elles ils sont devenus abonnés pour sortir des crises. Biram brûle à leur demande les livres pour désorienter les gens des "Manif.dégage".  Je sais comment et par qui Biram a eu les instructions de MOAA de le faire 

Ould Mkhaitir est le fils du préfet de Nouadhibou. Il ne sera pas exécuté Mais sa condamnation à mort est une double carte à jouer : satisfaire les analphabètes ici et négocier avec l'Occident. Se rendre donc important Et chercher le prix. Ce sera un autre Senoussi.

Plus les choses s aggravent pour eux, plus ils imaginent l'inimaginable : la surenchère par le +en + sensationnel 
Les gens s'occupent et sont bernés et ils empochent les milliards.
Les frères musulmans de Jamil Ould Mansour  : des bandits, des fripouilles, des arrivistes. Ils sont capable de tout et ils des besoins constants dont les principaux sont 3 pour cette mafia  :
Besoin de faire l'Espion du pouvoir local pour des pouvoirs étrangers 
Besoin de faire de l argent grâce au mercenariat politique avec les milieux mafieux arabes 
Besoin d être proches du pouvoir et de l'administration parce qu'ils ont le complexe de n'avoir pas fait les bancs de l'école, ni porter un costume, ni nouer une cravate 
Ils cherchent à contraindre le pouvoir de s approcher d'eux 

Une idée.
L idéal serait dans notre pays et tout autre pays musulman que tous les partis portent l'épithète islamique pour banaliser les partis islamiques et djihadistes 


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