mercredi 15 mai 2013

MoAA c/ Bouamatou - pastiche de l'anonyme sur le site Chez Vlane

L'auteur du pastiche est Vlane Ould Bouh
- sans relation aucune avec celui qui tient le blog : Chez Vlane. (http://chez-vlane.blogspot.com.es)

Que les amis et lecteurs des deux blogs. agréent mes excuses.

Quoique je commence d'être intrigué que ce texte - habile - d'un trèss proche du général Mohamed Ould Abdel Aziz donne lieu à tant de revendications... finalement fausses.


Affaire Bouamatou :

Le nouveau plumitif  d’Aziz est-t-il un cheval de Troie ?

La presse électronique mauritanienne affiche, depuis quelques jours, un article particulièrement méchant contre Mohamed Ould Bouamatou, envoyé par le nouveau plumitif de Mohamed Ould Abdel Aziz à Bertrand Fessart- de-Foucault et publié, par erreur, sous la signature de ce dernier par Taqadoumy.
L’article, dont l’auteur est l’une de deux ou trois personnes connues, toutes, pour avoir servi tous les régimes depuis Moctar Ould Daddah comme fonctionnaires dans le secteur de la presse et la communication, occupé de hautes fonctions où elles se sont ostentatoirement enrichies et verser dans le renseignement (j’ai ma petite idée sur l’identité du plumitif, je mène des investigations et reviendrai vers les lecteurs) ; cet article donc est écrit avec une intelligence tellement démoniaque, qu’il en a deux niveaux de lecture : au premier degré, il « descend » Bouamatou avec une rare animosité et au second (entre les lignes donc) il le fait, avec autant de malveillance, de Mohamed Ould Abdel Aziz lui-même. Un simple pastiche, dans lequel on rétablit quelques vérités adroitement détournées de leur cible ou ointes d’un onguent flagorneur par le fameux plumitif, permet de faire apparaître le vrai sens  (et les vraies cibles) de ce texte assez bien écrit, soit dit en passant. Lisez plutôt (Les passages en rouge mat son l’œuvre du pasticheur) :

La légitimation de Mohamed Ould Abdel Aziz va-t-elle porter préjudice à Claude Guéant et Alain Joyandet ?

Tout le monde connait la Françafrique qui a érigé la corruption des régimes africains en système  pour se permettre maintes pratiques occultes illicites dans son pays. L’ironie du sort veut que, chez nous, c’est le général Mohamed Ould Abdel Aziz qui aurait, lui, obtenu la légitimation de son coup d’Etat du 6 août 2008, grâce
semble-t-il à Alain Joyandet l’ex-secrétaire d'État chargé de la Coopération sous Sarkozy et Claude Guéant ex- Secrétaire général de l’Elysée puis ministre de l’intérieur de Sarkozy.


La motivation d’Ould Abdel Aziz serait-elle de faire main basse sur la richesse de son pays ? Les conditions d’intronisation comme président de la république  à l’ex-chef du Bataillon de la sécurité présidentielle par deux membres de l’entourage de Sarkozy tous deux mêlés à des affaires d’abus de pouvoir et de blanchiment d’argent commencent à soulever des interrogations de la part des autorités socialistes. Surtout qu’il s’agirait d’une légitimation d’un putsch à titre exceptionnel accordée pour « services rendu à la France ».

Lors de la récente perquisition au domicile de Claude Guéant, les enquêteurs ont découvert un versement de 500 000 euros sur son compte bancaire ainsi que des dépenses payées en liquide, pour un montant supérieur à 25 000 euros. L'ancien ministre n’arrive pas à justifier ces sommes. Le 2 mai courant, le gouvernement français annonce l'ouverture d'une enquête pour identifier l’origine de l'argent que Claude Guéant a perçu. La Libye de Khaddafi ne semble pas d’ailleurs la seule piste que suivraient les enquêteurs. Les regards de ceux-ci devraient aussi se tourner vers les conditions d’appui par la France au coup d’Ould Abdel Aziz.

Quels services a donc rendu Aziz à la France de Sarkozy pour que celle-ci, après l’avoir vivement condamné, change de position aussi vite et de manière aussi légère? Ce ne sont certainement pas les dizaines de millions d’Euros que la GBM Banque de son Cousin et mentor, Mohamed Ould Bouamatou) doit à la COFACE depuis une décennie. Ce n’est certainement pas non plus suite aux rapports remis aux renseignements français par la direction de Total qui fut longtemps en litige avec le même Bouamatou qualifié par ces ex-partenaires belges de la Bélgolaise de « personnage peu recommandable » suite à la fuite rocambolesque vers la France de Marc D’Hombres l’ex-directeur exécutif de la GBM menacé par les sbires de Bouamatou.

Que cache le revirement français précipitamment accordé à un putschiste qui malgré forfait, gouverne depuis 2008 la Mauritanie. Avoir réussi à faire de la France une puissance protectrice ; une « planque » contre la colère de son peuple et le vindicte de la Communauté internationale est lui aussi d’autant plus étrange que Aziz n’a jamais rendu un seul service à ce pays auquel il a préféré, dès sa prise du pouvoir, la Lybie et la Tunisie. D’ailleurs, sans la chute du régime Ben Ali, dont des membres de la famille Traboulsi était des modèles pour Aziz, ce dernier aurait déjà choisi la Tunisie pour fructifier la compagnie aérienne Mauritania Airlines (dont il fait sa chose privée) et rapatrier ses dividendes  d’autres sociétés qu’il se préparait à créer avec la mafia benalienne.

L’exil marocain de son cousin Bouamatou, qui veut se donner des allures de mécontentement politique contre un régime que celui-ci avait pourtant soutenu, ne serait-il pas du à cette boulimie des affaires dont a fait preuve Mohamed Ould Abdel aziz dès le lendemain de son élection ? Avant d’arriver à Rabat, Bouamatou avait d’ailleurs élu domicile dans la station balnéaire tunisienne Hammamet prêt des frères Traboulsi, dont Aziz se réservait à lui-même l’exclusivité du partenariat.

Peu de personnes sont au courant des véritables tenants et aboutissant du redressement fiscal dont a fait l’objet le groupe de Ould Bouamatou et les problèmes de la banque GBM dont il est le PDG et qui ont fait couler beaucoup d’encre ces derniers temps en Mauritanie, mais l’affaire elle-même est pleine d’enseignements :

La vérité est que l’ancien patron des patrons mauritaniens doit toute sa fortune ici et ailleurs à l’état mauritanien grâce au régime Taya (actuellement en exil au Qatar), à l’état tunisien grâce au régime Ben Ali (condamné à mort par contumace et réfugié en Arabie Saoudite) et au Sénégal grâce à ses liens avec Karim Wade (actuellement emprisonné pour enrichissement illicite). Il est donc normal que l’empire Boumatou (actuellement en fuite au Maroc) ne puisse survivrela fois à la chute de ces régimes et à la concurrence abusive de son cousin, enrichi dans les mêmes conditions et grâce aux mêmes parrains et désormais au pouvoir lui-même !

Tous les mauritaniens savent qu’au cours des 20 ans du régime Taya, si Mohamed Bouamatou a fait main basse sur l’économie mauritanienne grâce aux faveurs et passe-droits octroyés par celui-ci, Aziz a fait main basse sur le président lui-même, puis sur le pays, grâce à la confiance du même Taya. Ainsi, l’instituteur du primaire passé au commerce des bonbons (COGITREM) est devenu propriétaire de licences de pêches, de licence de vente et de trafic de tabac (MARLBORO), de fabrication de ciment (BSA Ciment), distribution de gaz (BSA Gaz) d’une banque primaire (GBM), d’une société d’assurances (AGM), d’un réseau de téléphonie GSM (MATTEL), d’une compagnie aérienne (Mauritanie Airways) etc. s’est trouvé, en quelques mois, détrôné par son cousin général qu’il a tout fait pour placer au pouvoir, croyant naîvement qu’il avait fait une bonne affaire.

Ould Taya négocia, bien évidemment, la contrepartie de leur soutien sans lequel Bouamatou et Aziz n’auraient jamais pu accumuler l’un une fortune de plusieurs dizaines de milliards d’ouguiyas et l’autre la présidence d’un pays et une fortune difficile à évaluer. Le marché était simple et bientôt connu de tous en Mauritanie : Ahmed ould Taya, le propre frère du président Maaouyia, sera associé au taux d’un tiers dans les affaires de Bouamatou en commençant par la plus juteuse à savoir la GBM obtenue grâce à Ould Taya qui ordonna à son gouverneur de la Banque Centrale de lui ficeler le dossier avec la Belgolaise et Aziz, dont l’épouse Tekeyber était la dame de compagnie de sa cousine Aïcha Mint Ahmed Tolba, épouse du président Maaouya, obtiendra rapidement le commandement du Bataillon de la sécurité présidentielle, la plus puissante unité de l’armée mauritanienne et gravira les échelons de la hiérarchie militaire. Le second volet de l’accord avec Maaouyia est le soutien financier de Ould Bouamatou au PRDS et aux campagnes politiques de Ould Taya et la neutralisation par Aziz de toute velléité putschiste de l’armée mauritanienne. Bouamatou poussera sa proximité avec les Tayas jusqu’à faire construire une école dans la localité de l’Adrar qui porte leur nom (Ein Ehl Taya). Aziz la poussera à devenir un porte-valise pour la première Dame et gardien du temple présidentiel. Inévitablement, l’association de Bouamatou avec Ahmed Taya qui couvrait plusieurs secteurs dont celui des cigarettes et celle de Tekeyber avec Aïcha, prendra fin avec la chute en 2005 du régime de Maaouyia. Dans un geste peu honorable sous nos latitudes, Aziz trahit Ould Taya et s’empare de son pouvoir en son absence et Ould Bouamatou s’empressa de se désolidariser des lui, annonça son soutien aux putschistes du CMJD et mit fin à son partenariat d’affaire avec Ahmed Taya.

Il est donc évident, que les alliances de Bouamatou se font et se défont au rythme de ses intérêts financiers du moment, tout comme celles de Aziz, d’ailleurs. C’est ainsi que Bouamatou connaitra sa première brouille avec Ely ould Mohamed Vall à cause de la licence Chinguitel qui allait concurrencer Mattel. Ce fut là la raison de son premier exil de 8 mois en Tunisie (Leila Traboulsi gouvernait encore la Tunisie). Aziz, qui lorgnait déjà vers le fauteuil présidentiel, se brouilla avec le même Ely suite aux premiers signes que celui-ci donna de vouloir s’incruster au pouvoir. Le conflit de Bouamatou avec l’Ex-premier ministre Zeine ould Zeidane était causé par les agréments que la BCM accorda à ses nouvelles concurrentes sur le marché mauritanien: BNP et Société Générale. Celui de Aziz avec le président Sidi eut pour raison le refus par ce dernier de verser dans une caisse noire gérée par lui (il était alors Chef d’Etat-major particulier du président), de 50.000 dollars dons de l’Arabie Saoudite pour équiper l’armée mauritanienne. Aujourd’hui c’est principalement la création de la compagnie nationale Mauritania Airlines (une société publique dont Aziz fait un bien privé) et celle de plusieurs Banques (BIM, BPN, etc.) dont Aziz, propriétaire réel, confie la gestion à des prête-nom (Feil Ould Lahah, notamment), la pullulation de Stations de services Rim Oil et National Pétrolium (que les mauritaniens appellent « Notre Président ») et d’autres boîtes qui concurrencent les affaires de Bouamatou,  qui sont la raison du mécontentement de ce dernier. Il aurait voulu que l’argent qui a servi à la création de cette compagnie nationale soit versé à sa compagnie tuniso- Bouamatienne pour le rachat de ses propres parts (39%).

Aujourd’hui que l’Etat, devenu Ould Abdel Aziz, refuse de s’associer à quiconque d’autre, et demande à aux concurrents du Chef de l’Etat de payer leurs impôts et qu’aucun prête-nom de Ould Abdelaziz n’est inquiété en affaire, il est normal que Bouamatou crie à l’injustice. Malgré son entreprise de charme envers ould Abdelaziz (soutien au coup d’état du 6 aout 2008 et aux élections de juillet 2009) et une « relation » tribale, celui-ci reste une énigme pour Bouamatou, un savon mouillé qui lui glisse perpétuellement entre les mains.

Impossible pour lui de domestiquer ould Abdelaziz comme il le fit pour Ould Taya.

Il aurait voulu que la nouvelle filiale Bâtiment et travaux publics de son groupe BSA se voit octroyé par l’Etat la construction du nouvel aéroport de Nouakchott. Mais Aziz l’a octroyé, dans un troc de gré à gré, à Ahmed Saleck Ould Bouh, moyennant des contreparties occultes(on parle de la moitié du terrain occupé par l’aéroport actuel).

Si cette affaire a suscité beaucoup de polémique ses trois derniers mois, c’est tout à fait compréhensible car, alors que le multimillionnaire en dollars qu’est devenu Bouamatou, a eu le temps (en 20 ans !) et les moyens de créer une cour d’obligés et de sous- fifres qui par crainte de son comportement digne d’un parrain de la mafia se sentent maintenant contraints de monter au créneau de sa défense, il a suffi de quelques mois au nouveau maître du pays pour le surpasser et menacer dangereusement ses intérêts.

En apparence l’affaire Bouamatou n’est qu’un faux problème qui n’aurait jamais dû dépasser la Direction Générale des Impôts et le Centrale, cependant, les apparences sont parfois trompeuses. Mais Bouamatou a commis l’irréparable en se rebiffant contre le nouveau maître absolu et cherchant à défendre ses affaires contre le Prédateur. Il aurait dû plier comme les autres hommes Chrif Ould Abdallahi, Isselmou Ould Tajedine et Mohamed Ould Noueiguedh. Des preuves accablantes (réelles ou inventées) contre cet homme d’affaire indélicat l’impliquant dans des histoires plus graves et plus sinistres ne manquent pas et seront utilisées contre lui. Bouamatou a-t-il été jusqu’à vouloir porter atteinte à la réputation du président Abdelaziz en cherchant à laver le linge sale en public (affaire Noel Mamère – Affaire Koumba Ba) et à l’intégrité physique du chef de l’état (incident du 13 octobre 2012) ou à nuire à la stabilité nationale (contacts avec des officiers supérieurs lors de la convalescence du président en France)? Ce sont là autant de questions que se posent les milieux avertis en Mauritanie, en réalité captivés par ce combat de David contre Goliath.

On comprendrait donc que le dernier recours de Bouamatou soit alors de prendre les devants lui-même en politisant l’affaire et se présentant en victime de l’ingratitude d’un régime qu’il a pourtant soutenu. La manipulation n’a pas réussi et aujourd’hui, celui qui refusait d’ouvrir les portes de sa banque, s’exécute, celui qui refusait de payer une caution pour la libération de son collaborateur la paye rubis sur ongle et l’on fait courir la rumeur que tout va s’arranger entre le pouvoir et Bouamatou auquel un tapis rouge sera déroulé à son retour en Mauritanie. C’est bien mal connaitre Mohamed Abdelaziz.

L’un des avantages inattendus de cette affaire pour Abdelaziz est d’avoir dérouté les accusations de tribalismes dont il est souvent l’objet. Il est en effet le premier président de l’histoire de la Mauritanie à avoir suscité des démêlés avec ses propres « cousins » connus du peuple et de surcroit les plus puissants à savoir Ely ould Mohamed Vall et Bouamatou ( à qui le général doit tout) et remplacé ceux-ci par d’autres cousins moins connus, donc passant inaperçus, plus sûrs car lui devant tout. Abdelaziz aurait dit récemment à l’un de ses proches qu’en voulant protéger la Mauritanie, « je la protège également contre les éléments les plus nuisibles pour moi de ma propre tribu  et je garde à celle-ci sa suprématie à travers d’autres (Feil Oula Lahah, Loumour Ould Wedady, Bahay Ould Ghadda, Med Abdallahi O. Yaha…)».

Le dernier enseignement de cette affaire est que, pour une fois, la Mauritanie à un Président qui a le courage d’envoyer un signal fort aux hommes d’affaires pour leur dire : Fini le temps où les grands patrons faisaient nommer le Directeur Général des impôts et le gouverneur de la BCM. Le gouverneur de la Banque Centrale c’est moi qui le nomme, ce sont mes intérêts en affaires qu’il servira. Fini le temps où des banques comme la GBM n’avaient pas besoin d’octroyer le moindre crédit pour fonctionner mais, se contentaient d’acheter des bons de trésors rémunérés au taux faramineux de 11%. Les bons du trésor seront momentanément supprimés, et d’autres Banques, dont certaines sont à moi, verront le jour. Ces mêmes bons étant achetés avec des liquidités amassés grâce aux dépâts des sociétés d’Etat à un taux 0%, ils iront désormais à ces banques. Fini le temps ou l’Etat et l’armée humiliés se tournaient vers de vulgaires commerçants pour obtenir des pick-ups et du diesel, ils achèteront leurs matériels chez moi ou chez mes prête-noms. Le Trésor National n’est plus dans le besoin puisqu’il vient de battre son record de tous les temps et affiche en ce moment plus de 90milliards d’ouguiyas de disponibilités, c’est-à-dire la moitié des ressources générées par les mines (Tasiast, Akjoujt, etc), par la pêche et par le pétrole. L’autre moitié ? Pas d’indiscrétion, svp !

Fini aussi le temps où certaines banques comme la Belgolaise/GBM constituaient seule un outil de fuite de devises avec complicités des gouverneurs de la BCM. Est-ce par hasard que les réserves en devises de la BCM sont actuellement d’un milliards de dollar? Du jamais vu dans l’histoire de la Mauritanie. Mais (ne le dites à personne !) ce sont, en grande partie, de faux dollars déposés pour gonfler les chiffres.

Nos compatriotes savent que la Mauritanie est largement à l’origine de la fortune d’hommes d’affaires tels que Ould Bouamatou qui aujourd’hui la remercie en s’exilant au Maroc avec une nationalité française et Mohamed Ould Abdel Aziz qui la pille sans ménagement, investit comme son cousin au Maroc, au Sénégal, en France et même au Moyen Orient (Tekeyber aurait une villa aux Emirats Arabes Unis !)( (خذ خيرها و لا تجعلها وطنا)Mais, il leurs restent également à répondre à plusieurs questions: Avec quel argent Bouamatou finance-t-il son exil doré et Aziz mène au pas tout un pays, y construit des dizaines d’immeubles, ouvre des banques, gagne des marchés colossaux, etc. ? Comment ont-t-ils transféré les fonds pour acheter des palais à l’étranger ? Comment ont-t-il eu les devises pour s’associer à la famille Traboulsi en Tunisie, Kaddafi en Libye, Sarkozy en France et Wade au Sénégal et ouvrir des sociétés à l’étranger sur fonds propres? Dans quelles conditions et par quelles voies l’essentiel de la fortune des Bouamatou-Aziz, pourtant amassée en Mauritanie et grâce à la Mauritanie s’est-elle retrouvée à l’étranger ? De combien l’Etat mauritanien a-t-il réellement été lésé par les deux compères ?

D’après source : Ouldkaigéblog

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