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vendredi 30 décembre 2016
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mardi 27 décembre 2016
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samedi 24 décembre 2016
jeudi 22 décembre 2016
mercredi 21 décembre 2016
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dimanche 18 décembre 2016
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mardi 13 décembre 2016
lundi 12 décembre 2016
dimanche 11 décembre 2016
samedi 10 décembre 2016
Mohamed El Hacen à des amis français
Excusez moi de vous parler de ce qui ne concerne les francophones
qu'indirectement.
Et pourtant ,il les concerne bien!
L'évolution de la situation en Gambie :Yahya ,le PR sortant (,toujours
le problème des sortants qui ne veulent pas sortir!)
La Gambie ,c'est la sécurité du Sénégal ,de la Mauritanie et des pays
dans lesquels sévissent les Diables poilus de BOUCOHARAM et
autres....
L'instabilité appelle l'instabilité.Les remous constituent une faille
par laquelle les mafias et les terroristes, aux agis, peuvent
pénétrer ....Il faut les prévenir ,les éviter et leur trouver des
solutions quand ils surviennent dans ce contexte où le thermomètre de
chaque pays doit être surveillé.
La Gambie est aujourd’hui l'urgente priorité.
L'acceptation de l'échec par le Sortant qui a surpris tout le monde
est une aubaine ,un miracle duquel tous devaient se féliciter et le
féliciter.
S'il revient à la charge et refuse de quitter (ce que personnellement
je redoutais à cause de l’infantilisme et du triomphalisme de
l-opposition...) ,c'est parce que certains exigent son jugement avant
même qu'ils ne quitte le pouvoir .
Maladresse myopie et absence de reconnaissance!!!!
Son attitude de ce jour s'explique . Il a peur pour sa peau.C'est
humain c'est africain.
Bref
l'important ,c'est la solution.
Nous préconisons l'urgence dans l'action pour traiter l’événement et
impulser une autre tournure plus positive.
Dommage qu'aujourd'hui ne soit pas un jour ouvrable pour traiter ce message
Solution en 6 POINTS
1- la France ,le Sénégal ,le Maroc , les Etats unis( et même la
Mauritanie qui pourrait être tentée de soutenir Le Sortant ui refuse
de sortir) doivent mettre leur poids ensemble et séparés pour trouver
en urgence la solution qui met un terme aux contestation et à
l'inquisition,au CONFLIT.
2- Le SORTANT est à féliciter pour sa première décision et pousser
vers la sortie
3-Son respect des urnes et de la démocratie le lavent dans le contexte
régional actuel de son passé par
4- par une loi d’amnistie générale au profit de tous les gambiens- lui
en premier- pour permettre leur réconciliation et déclencher un
nouveau nouveau départ une nouvelle ère en Gambie et même en AFRIQUE
LA GAMBIE deviendrait un exemple.
5- le Roi du Maroc pourrait l'inviter et l'honorer ,puis la FRANCE
,puis le Sénégal
6- il reviendra dans son pays,la GAMBIE quelques mois ou
semaines,quand la situation sera stabilisée et le nouveau régime
installé
Si une action vigoureuse et rapide n'est pas prise,on risque le PIRE
AGIR POUR ÉVITER LE PIRE
Merci ,chers amis français ,seuls destinataire s de ce message, je
vous supplie de faire ce que vous pouvez diplomatiquement avant
d'être contraint d'intervenir militairement ou d'assister impuissants
à l'embrasement
cordialement
M EL HACEN
Pr Université
fondateur de THINK TANK
reçu d'un ami : quelques réflexions sur les déménagements politiques
On
peut en toute bonne conscience et pour des raisons de tous ordres prendre le parti de renoncer à
l’engagement politique et se mettre
délibérément à la marge en tirant sa révérence et en sortant de l’arène Si
dans certaines circonstances une telle attitude peut ressembler à une sorte de
renoncement ou exprimer un déficit de
pugnacité chez le sujet, elle ne peut en aucun cas être jugée comme une indignité ou un sabordage moral. Tout au plus une mise à jour de
l’appréciation que l’on se faisait de soi même,
ou une révision du degré de
l’intérêt que l’on porte aux problèmes
de la cité, à la lumière d’une expérience marquante ou d’un bilan insatisfaisant.
Il peut arriver aussi que la nécessité de s’adapter à une situation imprévue ou de force majeure invite à placer
moins haut la barre.
On peut être amené, dans d’autres situations, à
« se mettre en réserve » ou
s’occuper de « cultiver son jardin ». Dans l’un et l’autre cas, les attendus sont parfaitement
recevables : « cultiver son jardin » est non pas une ode à la démission et à la passivité,
mais une option existentielle originale, une sorte de sagesse fataliste
acquise à travers les tribulations d’une
longue praxis fossoyeuse d’illusions. « Se mettre en réserve » est un
choix politique qui, s’il n’est pas chaque fois payant, est
du moins toujours légitime ;
Au
reste, l’engagement politique n’est pas, loin s’en faut, le seul créneau à
partir duquel on peut s’investir utilement et en toute dignité.
Mais
quid des choix et comportements de
ceux qu’on voit et qu’on entend rallier tapageusement le
Pouvoir après l’avoir combattu et dénoncé avec des excès verbaux pas toujours
seyants ? La question se pose d’autant plus qu’ils sont devenus, pour
ainsi dire, monnaie courante, ces
retournements extrêmes et sans transition.
Déconcertante
est la rapidité avec laquelle les nouveaux ralliés se mettent au boulot. A
l’instant même de leur embauche et en
moins de temps qu’il ne faut à une recrue pour enfiler un uniforme, ils se
lancent corps et âmes dan le rôle pour lequel
ils ont été, après marchandage, engagés : encenser matin et soir
leur nouveau maître et pourfendre leur compagnons d’hier. Ils s’en acquittent
avec un zèle si péremptoire qu’ils font rougir
la pudeur publique ; elle en a pourtant vu bien d’autres,
singulièrement depuis que le pouvoir a été confisqué par les juntes prétoriennes successives et que la
classe politique est devenue un tremplin pour arrivistes …
Le
vocable de pudeur ne figure point
dans le dictionnaire de ceux –là,
tout comme il est absent de leur entendement. C’est ainsi et l’on n’y peut
rien. Leur cas relève, au plan moral, d’une alchimie où se mêlent souvent
l’égoïsme de l’enfant capricieux au cynisme du vieillard blasé, la cupidité lancinante et la panique
provoquée par une difficulté matérielle insupportable pour la vanité
d’une âme sevrée. Le cocktail est
accessoirement complété par la phobie déraisonnée d’un ennemi réel ou
supposé et l’exaltation démesurée d’une chicane
à caractère tribal ou factionnel à enjeu dérisoire. Dans bien des cas,
en effet, la nécessité de s’approcher du Pouvoir, afin de « vaincre tel
ennemi ou s’en protéger», est invoquée pour légitimer le retournement spectaculaire d’un opposant.
Au
plan politique, courte vue et souffle
court, carriérisme et impatience sont
les traits marquants de ces
« hommes politiques » - et aussi les signes annonciateurs de leur
fatale destinée.
Et si leur reddition subite en rase campagne
et leur allégeance discrètement
monnayée et bruyamment proclamée,
à un pouvoir hier encore voué par eux aux gémonies leur paraissent banales et
ne chatouillent nullement leur conscience, c’est parce que dans leur rapport à
eux-mêmes et aux autres, ils ne peuvent se concevoir en dehors de leur
complicité inconditionnelle avec un égo
taraudé par la passion dévorante de l’arrivisme et aveuglé par un
nihilisme rugueux.
Ils
ne sont certes pas toujours dépourvus de mérites ni de talents, et il n’est pas
question de les leur dénier, même si l’on ne peut partager l’admiration et l’indulgence sans borne qu’ils
ils témoignent pour eux-mêmes. D’ailleurs, leur drame est précisément de posséder parmi
d’autres talents celui, singulier, qui
leur permet de convertir sans ciller leur image et leur crédit, en un simple
produit qu’ils iront brader à l’ennemi
abhorré de la veille. Ils croient jouir d’un prestige inaltérable, posséder une valeur
intrinsèque et des énergies
renouvelables sur commande. Déraison navrante. Talent funeste.
Et
l’Histoire suivra son cours sans en dévier d’un iota.
Aujourd’hui,
la situation du pays est porteuse de réelles promesses ; les forces du
changement sont de plus en plus étoffées et entreprenantes et il semble
bien que « ceux d’en bas ne veulent plus, et que ceux d’en haut ne peuvent
plus ». Et le cadre général
(international) est plus favorable que jamais.
Il
incombe donc à tous les mauritaniens sincèrement désireux de changement de
fortifier leurs positions, de renforcer leurs liens avec l’ensemble des forces de progrès et de se préparer à traverser les turbulences qui
s’annoncent et les épreuves qui séparent
le pays de ses espérances.
vendredi 9 décembre 2016
jeudi 8 décembre 2016
mercredi 7 décembre 2016
la Mauritanie a désormais sa journée de haine contre la France... Chez Vlane
Il paraît que rien
ne va plus entre le régime Azizien et la France. Il paraît car c’est la
presse qui le dit. Laquelle ? Celle d’opposition chez les francophones et les
arabisants dont les arguments sont repris par d’autres de la région jusqu’en
France dans certains canards qui se font l’écho de tout ce qui peut nuire
à Aziz.
Si cette
presse fait son travail d’opposition faisant feu de tout bois, il faut noter
cependant que le pouvoir Azizien ne fait rien pour prouver le contraire, au
contraire justement…
On l’a dit
mille fois, quand l’ambassadeur des USA rencontre avec plaisir des
personnalités radicalement opposées au régime Azizien, ce dernier et
tous ses satellites avalent les couleuvres avec le sourire car embrasser
la main que tu ne peux pas couper est un proverbe national. De même
quand le département d’état US émet chaque année des rapports confirmant les
thèses de Birame jusqu’à classer géographiquement la Mauritanie non pas
dans le Maghreb Arabe mais dans l’Afrique noire. De même quand
l’ambassade US met en garde ses ressortissants contre le risque majeur
d’attentat à Nouakchott.
Mais dès
que RFI donne le micro
à un opposant radical, fût-il ancien président ou prix ONU des droits de l’homme,
dès qu’un journal indépendant français comme Le Monde laisse paraître un
article qui n’est pas du goût du pouvoir Azizien, dès que l’ambassade met
en garde ses citoyens face à un risque d’agression dans certains quartiers,
tout le pouvoir Azizien se dresse, suivi de ses satellites, toute la presse
arabisante s’y met pour désinformer les mauritaniens, les monter
contre la France, grossir des affaires le tout histoire de montrer un pouvoir
fier et résistant face à l’ancien colon histoire, encore une fois, d’aller dans
le sens d’Oumtounsi…
Le pouvoir
mauritanien et les arabisants pensent peut-être que le pouvoir démocratique
français peut interdire au journal Le Monde de paraître juste car
un article déplaît à Nouakchott. Le pouvoir Azizien pense peut-être que la
France peut interdire à certaines plaintes d’être déposées. C’est cette
même logique de l’ignorance qui croit qu’un président américain peut
faire ce qu’il veut du congrès comme un président français.
On peut noter
une chose curieuse : alors que tous les violeurs dont les crimes ont
défrayé la chronique ont été arrêtés au plus tard moins d’une semaine après
l’agression, on a vu ça avec le violeur de la fille d’un avocat, on a vu ça à
Atar, on l'a vu chaque fois qu’un crime secoue l’opinion publique car nos
services de sécurité sont efficaces, voilà qu’à ce jour les criminels
qui ont sauvagement torturé une française semblent courir toujours…
Le
porte-parole du gouvernement, qui vaut pas qu’un jeune soit jeté
en prison pour lui avoir jeté une chaussure, a des arguments odieux pour
tout justifier sans avoir jamais une goutte de salive dans son sourire en
coin pour avoir la moindre compassion.
Dans cette atmosphère
de haine de la France comme argument de cohésion nationale (sic !), énième
division des mauritaniens pour un bilan humain azizien catastrophique, voilà
que le 28 novembre est devenu jour de la haine de la France par
excellence. Tout ce que les français ont fait de bon pour créer la Mauritanie
avec l’aide de marabouts visionnaires est sali, déconstruit au profit du
culte d’une résistance anecdotique pour les intérêts d’une puissance étrangère
du Nord farouchement opposée à la pérennité d’un état mauritanien ou
juste pour des raisons d’intérêts personnels de tel ou tel chef de patelin qui
voulait rester maître de son fief et de son système féodal.
On a ainsi pu
voir pour fêter le 28 novembre des émissions sur la TV d’état pour fêter la
haine de la France à cette époque. On a appelé des jeunes pour qu’ils récitent
des vers soi-disant d’époque justifiant cela. C’était bien triste car cela
sonnait creux. D’ailleurs les textes en arabe sont encore
disponibles pour rafraîchir la mémoire des artisans de la haine de la France
pour argument politique histoire de souder les mauritaniens contre l’éternel
ennemi étranger, celui qui veut déstabiliser la Mauritanie pendant que
les régimes successifs sur place seraient des enfants de chœur désintéressés
qui se battent pour une Mauritanie unie et prospère !
Tu parles ! Un
clou chasse l’autre. Ils sont en train de tout vendre même notre tradition
religieuse aux wahhabites et à vil prix ! Même le grand Maroc à la
manœuvre n’irait pas si loin dans la destruction de tout ce qui unit les
mauritaniens : unité nationale dans sa diversité culturelle, symboles de
l’état, toute architecture souvenir des premiers pas de la nation surtout de
l’éducation ( et pour cause… ) et maintenant l'orientation religieuse.
Voici le
dernier fer de lance de ce révisionnisme assumé comme un ver sort du fruit…
Hier je
regardais la dernière sortie du fameux Daoud Ould Ahmed Aïcha désormais
président du parti Nida comme Nido, des convictions en poudre pour usage
populaire avec beaucoup de salive comme autant d’eau plate, du petit lait qui
passe bien et le peuple en redemandera bientôt…
Personnage
intelligent avec réponse à tout machallah comme un maître camelot. Il
peut tout défendre, tout et son contraire avec un air sérieux à la mode du
tiers-monde. Il ne dit pas que des bêtises au contraire, il dit beaucoup de
choses intelligentes auxquelles on pourrait tous adhérer mais ce qui est
gênant c’est cette ruse fumeuse qui suinte de partout derrière cet air
sérieux de sournois professionnel qui sait balader son monde. Il est l’exacte
incarnation de l’homme intelligent qui sait qu’il parle à des gens moins
intelligents que lui pendant que ceux qui ont compris son jeu sont soit de son
côté soit incapables de s’adresser à son auditoire à cause de la barrière de la
langue.
Ce soir il
était l’invité de
notre ami Ahmed Elbou de Watania, candidat à la présidence d'un
regroupement de la presse dont j’ai oublié le nom, je lui donne ma voix
virtuelle, face à lui monsieur Ahmed Aïcha et quelques journalistes arabisants.
On ne va
pas reprendre ici
toute l’émission où le monsieur s’est bien défendu sur mille sujets : comme
nous, il se réclame d’aucun parti, assure dire la vérité sur chaque camp,
soutenir le meilleur de chacun et combattre le pire chez tous ; comme nous
il n’a rien de personnel ni de particulier contre Aziz sauf qu’on lui reproche
un bilan humain inversement proportionnel à son élan constructif ; comme
nous il estime que les maures ont aussi droit de faire entendre leur voix
sur une scène médiatique où toutes les communautés se font entendre ( toutes
plus ou moins car il s’agit surtout des hratines, des biranes et des peuls car
les oualofs semblent ne pas exister de peur qu’on leur rappelle que leur
fief est surtout au Sénégal quant aux soninkés ils préfèrent rester
discrets pour ne pas déranger l’ordre établi dans leur fief côté mauritanien où
l’esclavage et ses séquelles n’ont rien à envier au bilan chez les maures bien
au contraire disent certains anthropologues ) ; comme nous il estime que
les maures d’aujourd’hui ne sont pas comptables du passif de leurs ancêtres à
ceci près qu’il ne dit pas à savoir que le pouvoir économique politique sociale
militaire et religieux est aux mains de certains maures quasiment
exclusivement, ce qui donne droit à quelques responsabilités à l’heure des
comptes.
On peut comme
ça énumérer mille postures du président Nido qui peuvent pousser la
jeunesse maure à le rejoindre et Dieu sait que 70% de la population a moins de
30 ans. Ainsi celui qui arrivera à mobiliser la jeunesse balaiera les anciens
et les moins anciens c’est-à-dire toute la classe politique actuelle.
Là où on ne
peut le suivre, c’est
dans son culte de l’arabe qu’il veut imposer à tout le monde avec des arguments
foireux qui ne peuvent faire mouche que chez les innocents complexés par la
propagande et assoiffés de se raccrocher à tout prix à une grande civilisation
arabe pour ne pas avoir à assumer la misère culturelle qu’est devenue la
Mauritanie décomposée.
Voyez le
ridicule et l'hypocrisie collective : pendant toute l’émission il a parlé en hassania pour se
faire entendre du plus grand nombre sauf deux mots pour répondre à des
journalistes qui lui posaient les questions en arabe. Toute une émission où il
parle en hassania, fait de l’humour en hassania, parle politique
et même religion en hassania. Même notre ami Ahmed Elbou lui parlait en
hassania mais pendant toute une partie de la soirée, il n’a été question
que de l’arabe langue de la majorité or c’est manifestement faux !
C’est le
hassania la première langue nationale pas l’arabe que la majorité
des maures ne comprend pas mais aucun de ces messieurs n’a fait la moindre
remarque à ce sujet, c’est le complexe collectif jusqu’au ridicule. Pour
monsieur Nido, c’est l’arabe la langue de l'union et il s’explique en hassania
pour se faire comprendre du plus grand nombre même si lui parle arabe. Il
ose même se demander ce qu’on fait avec une constitution où il y est écrit
que l’arabe est la langue nationale si ce n’est pas le cas dans les faits, et
il dit tout ça en hassania que la constitution ne reconnaît même pas comme
langue nationale. Toute l’imposture est dans cette posture du personnage
et tout le reste est la complicité consciente ou inconscience de la presse
arabisante présente.
Monsieur Ahmed
Aïcha se moque de ceux qui traduisent en français le nom de leur parti,
en disant que le sien reste en toute langue Nido etc. Il s’est déchaîné
contre la France en estimant injuste que la France et les USA mettent la
Mauritanie en zone rouge alors qu’il y a plus d’attentats en France qu’en
Mauritanie. Il a un peu raison c’est parfois excessif mais la France n’a aucune
frontière avec un pays en guerre où règnent les islamistes radicaux et elle
sait ce qui se passe dans ces zones où plus d’une fois des européens ont été
capturés pour ensuite être libérés soit à prix d’or qui nourrit le
terrorisme ou en libérant quelques terroristes en échange.
Sachant
cela, pour
contribuer à l’éclat du crâne de Daoud, la France et les Usa doivent-ils mettre
ces zones en vert ou jaune ? Que se passera-t-il si des otages sont pris ou
assassinés ? Le porte-parole mauritanien cynique sortira-t-il ses statistiques
ou est-ce la Mauritanie qui peut garantir que personne ne sera pris ni
assassiné surtout en ces temps où les européens sont si mal vus chez
nous on se demande grâce à qui ?
A part ça, monsieur Ahmed Aïcha ne doit pas jouer
au plus fin avec l’histoire et la langue française. Qu’il le veuille ou non, la
pacification française n’est pas la colonisation criminelle qu’il dépeint avec
tant et tant de colons assassinés par les résistants mauritaniens. L’histoire,
la vraie, celle que ni lui ni personne ne peut effacer place la France
comme partenaire officiel de la création de l’état Mauritanien avec les
mauritaniens et on ne peut pas d’un côté aujourd’hui se faire le chantre du
nationalisme en déclarant la guerre à l’histoire. C’est cela l’exception
coloniale française dont la Mauritanie est la reconnaissante incarnation.
Quant aux
langues, le pays
pouvait tranquillement comme d’autres pays et comme c’est encore le cas dans
notre administration sauf la justice, avoir deux langues l’une officielle
l’arabe et le français deuxième langue de travail et tout irait bien
mais des faux nationalistes en ont décidé autrement depuis des décennies en
déclarant la guerre à l’histoire et à la langue française au nom de leur haine
personnelle fondée sur une vision maladive de la géopolitique.
Voilà la
vérité. Tous ceux qui
sont à cette maudite manœuvre sont des complexés souvent bilingues, souvent des
chauvins car ils pensent à juste titre que le français est chez nous une
dangereuse langue d’émancipation des masses, des dominés par une minorité qui
se sert de l’arabe qu’ils « maîtrisent » seuls pour dominer les autres
notamment avec une presse arabisante tribaliste et souvent obscurantiste.
Entre ne parler que l’arabe ou ne parler que le français ou les deux, quel est
le meilleur choix pour un peuple comme le nôtre au cœur d’un environnement
arabo-francophone ? La réponse coule de source : l’idéal, bien
parti à la naissance du pays, eût été de parler les deux langues mais des
criminels en ont décidé autrement pour diviser maures et négro-mauritaniens
d’abord et maintenant éloigner même les maures de cette langue qui permet une
autre lecture de l’histoire, qui permet de sortir du carcan intellectuel qui
a fait couler le monde arabe loin de l’âge de l’or de l’esprit critique, l’esprit
des lumières auquel l’occident doit sa renaissance. Pour ces terroristes de
la culture le français est la langue de l’égalité face au savoir qui
débouche sur le renversement de la domination intellectuelle quand les
imposteurs n’auront que l’arabe pour les sauver du démaquillage. En vérité
toute cette haine du français ne cache que la soif de dominer des
ignorants.
Même les
négro-mauritaniens sont tombés dans ce piège des révisionnistes sournois qui les accusent de
défendre la langue du colon alors que cette langue permet à tous les
mauritaniens de l’élite de se comprendre sans complexe sans que l’un estime
être dominé par l’autre car pour les négro-mauritaniens l’arabe est la
langue du colon au même titre que le Français et les noirs n’ont pas attendu
les arabes pour découvrir l’islam comme les berbères contrairement au mythe
n’ont pas attendu non plus les arabes pour être musulmans.
Tout ceci
devrait être dit à la
télé et à la radio en hassania mais personne n’osera s’y coller pour clouer le
bec à monsieur Nido et consorts car le courage au service de la bonne
foi est une denrée rare chez nous car tout le monde est en mode survie depuis
longtemps.
Un dernier
mot à propos de ce débat,
on entend souvent les chauvins dire comme monsieur Ahmed Aïcha que le hartani
de la masse hratine serait « jaheul » ; mot terrible au sens religieux.
Pourtant ils se trompent, le cumul du savoir n’a jamais été gage de bonne foi
comme le cumul de diplômes ne sera jamais gage d’honnêteté au contraire parfois...
Par contre
on trouve beaucoup plus qu'on
ne l'entend, chez les pauvres hratines des gens nobles, riches d’une culture au
sens de ce qui reste quand on a tout oublié comme dit quelqu’un, une culture
noble qui fait que le pauvre est musulman, le pauvre est noble et généreux
comme le milieu solidaire où il a grandi. Il n’ignore rien de tous
les codes de bonnes conduites quand il a eu la chance d’être hartani d’une
noble tribu, ce qui n’est pas toujours le cas…
On peut
donc facilement voir dans la condition de certains hratines toutes les tares de
leurs anciens maîtres qui n’ont rien de grand dans leur tente sinon la morgue
du mythe sournois donneur de leçons.
L’air de rien,
avec une fausse compassion, cette façon de traiter cette masse de
hratines à la télé est injurieuse et faite pour nourrir la culpabilité des
victimes alors que ces hratines de la masse sont souvent les derniers
témoins d’une noble culture que de sournois complexés humilient et
culpabilisent méthodiquement…
Publié il y a 6 hours ago par vlane.a.o.s.a
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mercredi 16 novembre 2016
plainte à Paris contre les tortionnaires hauts placés et les gradés du régime mauritanien - reçu de Hanoune Diko.
Après
la plainte contre les hauts gradés faux généraux tortionnaires de
paisibles citoyens Mauritaniens sans défense et leurs pitbulls qui les
obéissent au doigt et à l'œil, nous disons à Aziz et ses lascars
terroristes que l'autoroute vers Paris, l’Europe et l'international leur
est ouvert.
Soyez
les bienvenus et vous auriez un accueil chaleureux très populaire et
médiatique pour redorer le blason de l'image du fou faux général Aziz
que vous suivez comme des moutons pour foutre le pays en l'air. Leur AS en matière judiciaire, maître Brahim Ould Daddah l'actuel ministre de la justice doit
s'inscrire au barreau international pour défendre ses clients
terroristes, tortionnaires du peuple Mauritanien. Il a du boulot et
l'avenir est très prometteur pour son job.
Qu'ils
viennent se former, passer des bonnes vacances, en mission, se soigner
en laissant les citoyens mourir de maladies sur leurs lits sans soins ni
pitié .Qu'ils envoient leurs femmes accoucher ou pondre en occident.
Ils peuvent demander conseil au capitaine tortionnaire Ely Ould Dah et
d'autres qui ont fui en abandonnant les fringues de leurs femmes d'une
valeur de plusieurs millions d'Ouguiyas dans leur luxueux hôtel comme
cadeau de pour boire inattendu aux hôteliers.
Nous
leur disions que nous sommes déterminés à libérer tous les mauritaniens
de leur prise d'otage de la Mauritanie. S'ils se prennent comme des
"Dieux" vivant qu'ils fassent tomber le ciel.
À force de jouer avec le feu entre ses jambes, on finira par s’embraser.
Je profite l'occasion pour rendre hommage au président civil élu démocratiquement victime d'un putsch, M. Sidi Ould Cheikh Abdallahi qui
est le premier homme civil à oser dire merde aux mafieux terroristes
faux généraux en les renvoyant illico presto de l'armée. Malgré la
trahison de certains partis politiques qui croyaient aux ragots de salon
des faux généraux, cet homme a marqué l'histoire de la Mauritanie et
tout mauritanien lui doit des excuses
Diko Hanoune
mardi 15 novembre 2016
lundi 14 novembre 2016
dimanche 13 novembre 2016
depuis la prison de Zouerate, les détenus d'IRA s'adressent à l'opinion nationale et internationale - reçu d'Hanoune Diko
Initiative pour la Résurgence du Mouvement
Abolitionniste (IRA-Mauritanie)
Depuis la prison de Zouerate, les détenus
d'IRA s'adressent à l'opinion nationale et internationale
Encore une fois et au moment où les
Mauritaniens de façon générale et plus particulièrement les H'ratin, les
Pulaar, les Wolof et les Soninké vivent une situation d'une rare complexité
tant au niveau des droits de l’homme qu'aux niveaux : politique, social et
économique, le régime raciste et
esclavagiste du dictateur Ould Abdel Aziz s'évertue à afficher son mépris pour
les défenseurs de droits humains en général et des abolitionnistes en
particulier. Ce mépris ostentatoire se
traduit par l'instrumentalisation méthodique et assumée de la part de ce régime
de ce qui reste des autorités
judiciaires du pays. La preuve de cette instrumentation, si besoin en était,
est notre présence injustifiée et absurde derrière les barreaux des geôles des
esclavagistes sans raisons autres que nos
idées, nos principes et la ferme intention de les défendre et de les exprimer.
Parce que nous avons défendu nos principes,
nous avons été torturés, inhumainement traités et jetés dans les cachots des
commissariats de police. Ces tortures et traitements dégradants furent exécutés
sous la houlette du Directeur de la sûreté en personne, Mohamed Ould Meguete,
triste sir aux mains encore rouges du sang des Noirs répandu lors des années de
braises, 89-91.
Parce que nous avons exprimé nos opinions,
nous avons été humiliés, réprimés puis condamnés, par une cour à la solde de
l'Exécutif, à des peines fantaisistes et qu'aucun magistrat ayant la moindre
once de conscience professionnelle n'aurait accepté d'entériner. Ces verdicts
de la honte furent téléguidés par le ministre de la justice en personne, Brahim Ould Daddah.
Quant à la mise au pas de la Justice par le
tigre en papier qu'est Ould Abdel Aziz, elle s'est manifestée à maintes reprises
dont la plus flagrante est l'ordre intimé à la Haute Cour de Justice de
dessaisir la Cour d'Appel de Nouakchott, qui est notre juridiction naturelle et
territorialement compétente dans notre cas,
de notre dossier pour le confier à celle de Nouadhibou, située à 400
kilomètres du lieu des faits qui nous sont reprochés. Une telle décision prouve
l'absence de toute indépendance de la Justice dans notre pays.
Nous avons été transférés de la tristement
célèbre prison de Dar Ennaiim vers la pas moins sinistre maison d'arrêt de
Zouerate dans des conditions d'une rare cruauté. Entravés par de lourdes
chaînes de fer, le transfèrement vers
Zouerate, située à 700 Km au nord de Nouakchott, dura plus de vingt
heures d'horloge entrecoupées de séances de torture, d'humiliation et de
mauvais traitements de la part de nos convoyeurs aux ordres de leurs supérieurs.
Nous fûmes transportés tels du bétail ou des bandits de grands chemins ou des
terroristes aux moments où notre combat, celui de notre organisation et de nos
militants était célébrés du haut des plus prestigieuses tribunes tant au niveau
national qu'international. Mais telle est et demeurera notre volonté, celle de
continuer et d'amplifier le combat de notre glorieuse organisation en dépit des
multiples pressions morales et physiques et
malgré les tentatives répétées de corruption.
Nous, prisonniers de l'Initiative pour la
Résurgence du mouvement Abolitionniste (IRA), tenons à porter à la connaissance
de l'opinion nationale et internationale notre position par rapport au prochain
jugement que s'apprêtent à organiser nos geôliers, position qui se résume comme
suit:
1- en direction du régime raciste et
esclavagiste, nous affirmons, du fin fond des lugubres cellules d'isolement de
la prison de Zouerate, que notre moral n'a fait que se raffermir et notre
volonté que grandir de continuer notre combat aussi bien à l'intérieur qu'à
l'extérieur des prisons;
2- informons les porteurs de képis et de
rangers et plus particulièrement leur général en chef, que nous n'avons aucune confiance en leur
justice et n'en attendons rien de bon vu comment nous fûmes empêchés de nous
défendre en première instance. Cependant nous exploiterons la tribune que nous
offrirait le jugement en appel pour dénoncer les accusations mensongères portées
contre nous et pour crier notre innocence en direction de l'opinion nationale
et internationale;
3- En direction du Dictateur en chef qui, paraît-il, se
demandait "qui sont les H'ratin?",
nous disons que nous sommes les descendants de H'ratin et que ses verdicts ne
nous font nullement peur et ne nous détourneront jamais de nos nobles
objectifs. Alors à vous de choisir... vingt, vingt-et-cinq ans ou même la
perpétuité ou encore la peine capitale.
4- A l'ensemble des Iraouis, militants et
dirigeants, nous disons "merci".
Merci pour les combats menés, les actions ciblées. A tous nous renouvelons
notre serments de poursuivre la lutte quel qu'en soit le prix et quels qu'en
seront les sacrifices. Aux organisations de la société civiles et partis
politiques qui nous soutiennent nous disons "merci" et "continuons
ensemble la lutte pour hâter l'avènement de l'aube de cette longue nuit peuplée
de ténèbres et de dangers". La victoire ou le sacrifice, telle est
notre décision et Allah disposera.
Les
prisonniers d'IRA signataires:
- Amadou Tidjani DIOP
- Hamady LEHBOUSS
-
Balla TRAORE
-
Ahmed Hamer FALL
-
Ousman LO
-
Mohamed JAR ALLAH
-
Mohamed DATI
-
Khatry ERRAHEL
-
Ousman ANNE
-
Moussa BIRAM
- Abdallahi Salek MATALA
- Abdellahi Abou DIOP
- Jemal Samba B'LEIL
Traduction :Dr Mohamed Baba Said
samedi 12 novembre 2016
vendredi 11 novembre 2016
mobilisons-nous pour soutenir les 13 membres d’IRA-Mauritanie qui seront jugés en appel - reçu de Hanoune Diko
Appel
à la mobilisation générale à l’intérieur comme à l’extérieur du pays, à
l’occasion de l’ouverture du faux « procès en appel », ce 14 novembre
2016 des 13 otages abolitionnistes du pouvoir du général Ould Abdel
Aziz, qui sont membres IRA-Mauritanie.
Il
est inadmissible, voire inacceptable qu’en ce fin de l’an 2016, un
régime de cette soi-disant République « Islamique » de Mauritanie
considère que dénoncer le crime de l’esclavage, les criminels
esclavagistes, est un crime passible des peines allant de 3 à 15 ans avec l’utilisation du faux et usage de faux.
Ces
arrestations, ces séquestrations arbitraires, n’ont qu’un seul but,
entraver le travail des militants des droits humains sur le terrain,
faire taire les abolitionnistes en protégeant les criminels
esclavagistes.
Ces
faux généraux Mauritaniens qui tirent les ficelles du pouvoir en
abusant de leur pouvoir ne sont pas encore entrés dans l’ère du 21ème
siècle. Ils sont et restent bloqués dans l’ère du moyen-âge, croyant
naïvement qu’il leur suffit de livrer les richesses de notre pays
aux pillages de ces entreprises multinationales des pays industrialisés,
pour avoir le droit de vie et de mort atroce gratuite sur
des paisibles citoyens qui réclament leur droit le plus naturel au
monde.
Les
militants abolitionnistes et membres de l’ONG IRA-Mauritanie doivent
être libérés sans condition, suivi par la réparation du préjudice
injustement subi avec des dommages et intérêts.
On
ne peut accepter qu’en 2016, des hommes soient jetés en prison à 1200KM
de leurs familles sans raison sur des accusations fallacieuses montées
de toutes pièces par des fonctionnaires pervers menteurs et tricheurs
pour satisfaire cette politique des autruches humaines.
Seule la lutte paye et libère. Que toute la Mauritanie se dirige, se tourne vers la ville de Zouerate; que ça soit en voiture, à dos d’âne, de cheval, de bœuf, de dromadaire etc… pour assister, entendre les mensonges publics de l’état et comprendre leur cirque abusif d'un faux procès. Que des manifestations et sit-in de soutien soient organisés dans l’ensemble du pays, à l’extérieur également pour dénoncer l’abus de pouvoir du général Mohamed Ould Abdel Aziz et son entourage en soutien aux otages abolitionnistes victimes d'un pouvoir de terreur sans précédent.
Jamais
dans l'histoire de la Mauritanie, il n'y a eu autant d'arrestations
arbitraires, de séquestrations des militants abolitionnistes sans raison
apparente et la répression violente quotidienne des manifestants
pacifistes avec des milliers de blessés à chaque fois que nous avons
vécu sous l'ère d'Aziz. Ceci est une honte nationale et un défi lancé
aux institutions internationales, aux institutions africaines par le
pouvoir aux quelles la Mauritanie a adhéré, signé, ratifié les traités
et conventions. Demain, il fera jour comme le dit l'adage.
Ils ont subi de graves tortures : Leur procès
s'était ouvert le 3 août 2016 devant la Cour criminelle de Nouakchott,
qui a prononcé, ce jeudi 18 aout 2016 soir leurs condamnations. Trois
des militants, dont le chef d'une section de l'IRA à Sebkha, un quartier
populaire de Nouakchott, ont écopé de 15 ans de prison ferme. Huit
autres ont été condamnés à cinq ans de prison ferme, les deux derniers
doivent purger trois ans de prison ferme. Les militants de l'IRA ont été
condamnés en l'absence du collectif constitué pour leur défense, qui
avait décidé de se retirer du procès pour protester contre les tortures
infligées, les violations de procédures entachées de nombreux vices de
procédures.
Une parodie de justice : le
collectif des avocats des militants de l'IRA a dénoncé le jugement lors
d'une conférence de presse, expliquant que toute possibilité de recours
leur a été refusée en raison de leur boycott. "La Cour a rejeté toute
introduction de recours dans cette affaire invoquant le boycott des
audiences par les avocats", cela signifie "qu'on n'est plus dans le
cadre de la justice", a expliqué l'avocate Fatimata Mbaye. "Il s'agit
d'une condamnation hors-la-loi, qui explique bien qu'on est dans une
parodie de justice", a de son côté affirmé Me Gourmo Lô.
Diko Hanoune
jeudi 10 novembre 2016
mercredi 9 novembre 2016
mardi 8 novembre 2016
lundi 7 novembre 2016
dimanche 6 novembre 2016
samedi 5 novembre 2016
vendredi 4 novembre 2016
jeudi 3 novembre 2016
mercredi 2 novembre 2016
mardi 1 novembre 2016
lundi 31 octobre 2016
dimanche 30 octobre 2016
ce que je reçois de beaucoup de côtés
La marche de l'opposition a été gigantesque. 200 000 selon des sources. Et le discours fort : Non à la révision de la Constitution, non à la manipulation des symboles de l'Etat (drapeau, hymne, devise), non au régime corrompu et méprisant.
samedi 29 octobre 2016
vendredi 28 octobre 2016
jeudi 27 octobre 2016
mercredi 26 octobre 2016
mardi 25 octobre 2016
appel du RFD et de l'UNAD à manifester avec le FNDU le 29 Octobre prochain
نداء
تمشيا مع دعوتهمالتشكيل
جبهة عريضة من كافة القوى الوطنية الحية، للتحرك والوقوف في وجه التلاعب بالدستور
ورفض المساس به إبان الأزمات والتجاذبات السياسية الحادة، فإن تكتل القوى
الديمقراطية وحزب التناوب الديمقراطي (ايناد) يدعوان كافة مناضليهما
ومناصريهما، وعموم ساكنةنواكشوط، وجميع الخيرين من أبناء الوطن إلى المشاركة
القويةفي المسيرة التي ينظمها المنتدى الوطني للديمقراطية والوحدة، السبت 29
اكتوبر 2016، للتعبير عن رفضهم المطلق لمخرجات مهزلة الحوار الأخير،الهادفة لتنفيذ
مخطط يحاك ضد البلد، وما صاحبها من خطابات
تضليلية.
ويؤكد الحزبان على دعمهما لكافة المبادرات واستعدادهما
للمشاركة في كل النشاطات المتصديةلهذه المؤامرة الخطيرة.
" وَقُلِ اعْمَلُوا
فَسَيَرَى اللَّهُ عَمَلَكُمْ وَرَسُولُهُ وَالْمُؤْمِنُونَ"، صدق الله
العظيم.
نواكشوط، 23 محرم
1438-25/10/2016
حزب التناوب الديمقراطي(ايناد)
تكتل القوى الديمقراطية
mise à prix au Guimakha, d'un Mauritanien vivant en Angola . reçu d'Hanoune Diko
Sa tête est mise à prix par les féodaux du Guidimakha, un expatrié Mauritanien vivant en Angola.
Pendant que le président de la république, M. Mohamed Abdel
Aziz et son gouvernement pensent, l’esclavage est un fait d’un passé
lointain, les séquelles, quand à elles restent très vivaces dans le
milieu Soninko. Des émissions sont animées en grande pompe pour
encourager des personnes d’ascendances serviles « Komo » à rester dans
leur condition. Cette fois-ci, ça déborde complètement. Les maîtres «
d’hier » et pensent y rester aujourd’hui, menacent d’ôter la vie d’un
citoyen Mauritanien expatrié en Angola sous prétexte qu’il a critiqué la
féodalité Soninko. Qu’il refuse d’être esclave, un sous homme dans la société
sous forme de la coutume ancestrale « LADDA »et se permet de critiquer le
rôle qu’ils ont sacralisé plusieurs siècles comme les marabouts et
nobles. Le président de la république est garant la sécurité des citoyens
et leurs biens, nous demandons l’applique stricte de la loi. Le gouvernement
mauritanien a la charge de sécuriser la vie du citoyen Diokhoba Coulibaly qui
est menacé de mort publiquement. Il a été comparé aux dessinateurs du journal
Satirique Charlie Hebdo. Ce qui serait très grave. Nous appelons aux autorités
angolaises d’assurer également sa sécurité.
Projet de loi abrogeant et remplaçant la loi n° 2007– 048 du
3 septembre 2007 portant incrimination de l’esclavage et réprimant les
pratiques esclavagistes
Article 2 : L’esclavage constitue un crime contre
l’humanité. Il est imprescriptible. Est interdite toute discrimination, sous
quelque forme que ce soit, à l’encontre d’une personne considérée comme
esclave.
Article 17 : L’auteur de production culturelle ou artistique
faisant l’apologie de l’esclavage est puni d’un emprisonnement de six mois à
deux ans et d’une amende de deux cent milles (200.000) à deux millions
(2.000.000) d’ouguiyas. La production est confisquée et détruite
L’amende est portée à cinq millions (5.000.000)
d’ouguiyas si la production est réalisée ou diffusée par une personne morale.
Outre la peine prévue à l’alinéa précédent, la personne
morale peut être interdite d’exercer ses activités de façon partielle ou
totale, provisoire ou définitive.
Transcription l’audio choque d’un certain Soumaré
immigré en France, vivant dans le foyer commanderie (Paris) qui appelle
au terrorisme:
« Mais Diokhoba Coulibaly, tu as mangé quelque chose
aujourd’hui, non franchement, j’ai pu rien comprendre de tes affaires. Comment
as-tu pu penser des paroles comme ça ? Mais tu t’es drogué ? Que les
maures tuent les féodaux soninko, des chefs de villages peureux,
menteurs, mais tu as eu la chance d’être en Angola. Si tu étais en
France, des balles allaient traverser de part en part ta chair (je te
tue). Moi je suis (guerrier) Soumaré-Dicko, j’allais t’assassiner sinon
que tous les Soumaré au monde viennent me marcher dessus si je n’ouvre
pas le feu sur toi par l’honneur. Tu as commis le même acte qui avait conduit
aux attentats meurtriers des journalistes Charlie Hebdo ; qui avaient
dessiné le prophète et qui a conduit à leur assassinat. Tu as profané la
féodalité Soninko et tu mérites la mort. Pas plus ! Aujourd’hui par
ta critique sur les chefs de villages et les marabouts soninko , tu mérites le
même sort que ces journalistes Charlie Hebdo. Mais attend, je vais me
renseigner sur le billet Paris-Angola vers là où tu te trouves. Tu verras ce
que je vais faire de toi. Tu dois te coller la paix, toi l’esclave mâle
que tu es, tu vas en Angola, tu ramasses un Diamant et tu commences à faire le
malin en te mettant à critiquer tout le monde (les familles
féodales bien entendu). Moi je suis Tunkanléme (le fils de Dieu) noble, je
tiendrai parole et les marabouts aussi t’attendent…………………. »
Extrait : Note d’alerte : Les mentalités féodales rongent
les mauritaniens de l’intérieur comme de l’extérieur
Soucieux de l’impérieuse nécessité d’éradiquer ce fléau afin
de permettre un cadre de vie digne et démocratique, nous demandons aux
autorités Mauritaniennes :
-De prescrire comme délit dans le code pénal Mauritanien
l’apologie de la notion de supériorité basée sur l’appartenance sociale
par des cadres, intellectuels et autres (certains répondant au nom de
chefferies villageoises) au même titre que la loi incriminant
l'esclavage, et ce avec à la clef des amendes fortes, dissuasives afin de
changer les mentalités rétrogrades ;
-de punir par la loi les apologistes publics qui
entretiennent à travers des animations, des chants et des danses, les complexes
de supériorité ou d’infériorité par le biais des coutumes
ancestrales : (Niaxamala, Gawlo, Iguiw ou Griots etc.) au sein de nos
sociétés, tribus ou castes dont le seul but est d'humilier, de diminuer
l’Homme, et de lui soustraire des fonds par harcèlement verbal, moral
ou régler des comptes avec certaines catégories de la société ; une
situation de faits qui incite à la haine, au mépris de l’autre, polluant ainsi
l’ambiance naturelle au point de menacer la sérénité, l’unité et la
cohabitation entre les citoyens ;
-De lever les tabous autour de la féodalité et ses
corollaires ;
-De prendre des mesures fortes et dissuasives en cas de
récidive : condamnation à des peines de prison ferme ;
-D’intégrer, par amendement, dans les lois, des actes
concernant les questions spécifiques liées aux discriminations féodales
sur l'immatériel et le matériel notamment sur le foncier régi sous un régime
moyenâgeux dans certaines contrées.
Ecouter la Vidéo : Mise à prix la tête d’un expatrié
Mauritanien vivant en Angola par les féodaux du Guidimakha: https://www.youtube.com/watch?v=V86U_kYOQ6E
Source : Bano Sidibé
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