lundi 26 juillet 2010

lire Mohamed Ould Abdel Aziz

Même si la traduction n'est qu'approchée, les discours en ligne du général-président régnant sont atterrants de médiocrité. Je relève qu'il n'y a toujours pas d'évocation de Moktar Ould Daddah à l'anniversaire du 28 Novembre 1960. Le ressassement de ce qui est sain ou doit l'être, en ouverture d'un colloque sur l'Islam et l'extrêmisme.

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