samedi 25 novembre 2017

Mohamed Ould Abdel Aziz et le terrorisme au Sahel


Ce que je reçois d'un ami mauritanien et transmets aux autorités françaises, en train de réorganiser la relation européenne en sécurité par le Sahel.

Mauritanie-Alerte : Le groupe du G5 Sahel doit savoir que le pouvoir Mauritanien est complice des terroristes dans le Sahel

Mauritanie-Alerte : Le groupe du G5 Sahel doit savoir que le pouvoir Mauritanien est complice des terroristes dans le Sahel, comment un tel régime, pourra-t-il combattre le terrorisme ?  La république du Mali en souffre de cette complicité, le général Ould Abdel Aziz avait refusé de soutenir l’intervention de la France et les pays africains pour chasser les terroristes dans le Nord Malien sous la pression de Salafo-Wahhabisme obscurantistes que le pouvoir loge, nourrit et protège.  Ce « G5 Sahel» : Groupe de cinq pays du Sahel est constitué de : Burkina Faso, le Mali, la Mauritanie, le Niger et le Tchad. Nous demandons à la communauté de ne pas financer un régime qui constitue le talon d’Achille d’extrémistes religieux, négrophobes esclavagistes, anti-Sahariens, Antioccidentaux et Judéophobes fiers.  


L'affaire de se jeune ingénieur « caste forgeronne » accusé à tort de « blasphème-apostasie »,  M. Mohamed Cheikh Ould Moukheitir, vient de jeter toute la lumière sur la réalité du régime Mauritanien. Il n’y a plus d’ambigüité possible, le pouvoir Mauritanien cherche toujours à séduire les terroristes qui sévissent dans le sahel. En tout cas, la nouvelle loi proposée illico-presto en conseil de ministre et approuvée immédiatement, soi-disant contre le blasphème et l’apostasie encourage les extrémistes « religieux » de s’installer en Mauritanie.  

Dieu et son prophète (PSL)  pardonnent aux âmes pécheresses  mais les Oulémas maures et leur pouvoir Salafo-Wahhabite obscurantistes  sous contrôle du régime de Mohamed  Ould Abdel Aziz disent qu’ils ne pardonneront pas ; mieux ; ils  exécuteront  désormais officiellement des citoyens mauritaniens qui ne cadrent pas dans leur idéologie sanguinaire et sectaire pour motif « Blasphème-Apostasie ».

Ils ont osé se mettre officiellement, au dessus de Dieu et son prophète  pour exécuter de citoyens et étrangers innocents, qui seraient indésirables pour eux, sur   des accusations fallacieuses de barbus dans le désert. Quelle horreur militaire,  feu Thomas Sankara disait : « Un militaire sans formation politique n'est qu'un criminel en puissance », et on peut dire que cela prend forme en Mauritanie actuellement.

 Nous voici en plein dedans en Mauritanie, officiellement, ils tueront au nom de Dieu et son prophète. Étonnement, le G5 et la communauté internationale ne disent rien alors que chaque mauritanien risque d'être confronté à  cette sentence barbare. Il semble que les assassins ont des beaux jours en Mauritanie. Le régime Mauritanien vient de piétiner à nouveau les traités et conventions internationales qu’elle a signées et ratifiées qui devraient être au dessus des lois nationales.

Avant de tuer un apostat, mais, qu'ils  commencent  d'abord à exécuter les assassins qui sont tapis dans l'armée et dans les mosquées. Pourtant, Dieu et la charia islamique est  claire sur le sujet. Toute âme qui donne la mort intentionnellement, doit être exécutée de la même sorte. Pourquoi  tuer seulement les apostats ou blasphémateurs? Leur punition est entre la main de leur créateur, qui ne commet pas de pêché   dans ce  monde  selon la religion? Seuls les abolitionnistes et militants des droits inhumains sont visés par les nouvelles manœuvres du régime qui soutient les extrémistes religieux arabo-berbères proches du pouvoir, car, ils sont considérés comme les ennemis de l’islam, des traitres à la solde  d’occidentaux mécréants, juifs etc….



«  Nouakchott,  16/11/2017  -  Le Conseil des Ministres s'est réuni le Jeudi 16 novembre 2017 sous la Présidence de son Excellence Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, Président de la République.

Le Conseil a examiné et approuvé un projet de loi abrogeant et remplaçant les dispositions de l’article 306 de l’ordonnance 83-162 du 9 juillet 1983 portant institution du Code Pénal.

Le présent projet de loi vise à abroger et remplacer l’article 306 de l’ordonnance n°83-162 du 09 juillet 1983 portant Code Pénal en vue de durcir les peines prévues à l’encontre du blasphémateur de Dieu ou de ses messagers ou ses anges ou ses livres ou l’un de ses prophètes. »

Source : Site officiel de l’état du gouvernement Mauritanien :



Diko Hanoune/ Militant Abolitionniste

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journal de maintenant - samedi 25 novembre 2017

mardi 21 novembre 2017

conversations racistes entre épouses de personnalitéés au pouvoir



Le 21/11/2017 à 21:36, Diko diko a écrit :

Mauritanie : Scandaleuse conversation entre Mme Tekeiber Mint Ahmed




Mauritanie : Scandaleuse conversation entre Mme Tekeiber Mint Ahmed,  femme de Mohamed Ould Abdel Aziz, la femme du général Mohamed Ould Ghazouani, l’homme de l’ombre de la présidence Mauritanienne, chef d'état-major de l'armée, qui  assure « l'intérim » en cas d’absence du président Ould Abdelaziz,  la femme d’un commissaire au nom de Dahmis et la voyante du couple présidentiel. Les nominations se feront uniquement en consultant la voyante du palais présidentiel et la première dame du pays, n’est ce pas des animistes qui nous tympanisent qu’ils sont les gardiens de l’islam et son prophète (PSL) sur le sol Mauritanie?

Non, vous ne rêvez pas, Aziz et sa femme croient plus aux délires de leur voyante attitrée qu’à la parole d’Allah. Ce sont les mêmes hypocrites, menteurs, qui  avaient accusé l’ex-président, Sidi Ould Cheikh Abdallahi  afin de  le renverser d’être sous la tutelle de sa femme, aujourd’hui, ils nomment et licencient des diplomates, des fonctionnaires de l’état jusqu’aux plantons et chauffeurs dans les ambassades sur l’injection de leurs femmes. Cette affaire, surtout les propos, sont extrêmement graves, montrent combien ceux qui décident en Mauritanie, sont racistes et esclavagistes. Ils sont Hartanophobes, négrophobes et Judéophobes fiers sans complexe ni remord. Une horreur au sommet de l’état Mauritanien, franchement.


La femme du général Ould Ghazouani,  chef de l'État-Major de l'armée Mauritanienne, vit aux États-Unis d'Amérique depuis plusieurs années sur le compte de l'État Mauritanien, avec  son fils atteint d’un lourd handicap,  il est pris en charge par des médecins Américains pour un handicap à vie. Le gouvernement mauritanien a octroyé un poste de diplomate à Washington à l'épouse du général par la gabegie et les hold-up continuent de dignitaires du régime raciste et népotiste de Mohamed Ould Abdel Aziz qu’ils perpétuent continuellement en Mauritanie.

 Dans ces échanges Whatsapp, l'épouse du général Ghazouani s'en prend à deux  employés de l'ambassade de Mauritanie à Washington DC, un pauvre chauffeur et un planton, qu'elle traite de membres IRA-MAURITANIE, donc des traîtres de la Mauritanie, selon elle. L'épouse du général Ghazouani, très remontée contre la communauté Haratine qu'elle traite avec beaucoup de mépris tout en l'assimilant à IRA.

Madame Ghazouani s'est aussi violemment attaqué à la fille de Boydiel Ould Houmoïd, président du parti Al-Wiam. La fille de ce dernier travail comme comptable à la mission diplomatique mauritanienne aux USA. La femme du général traite la comptable de tous les noms et l'indexe comme une vilaine personne qui soutient IRA-Mauritanie et qui déteste les maure en la personne du fils du garde des sceaux Mauritanien, Brahim Ould Daddah.

Mariem femme du général a exprimé dans les audios Whatsapp que le ministre de la justice a eu le courage d'éradiquer le mouvement IRA par une répression féroce totale et déterminée; elle considère que la comptable, étant de la communauté Haratine, détesterait les fils du ministre à cause de la rigueur avec laquelle son père à fait emprisonné et persécuté les dirigeants et  militants d'IRA qui sont Haratine. La femme du général s'en prend aussi dans les audios Whatsapp à une femme diplomate mauritanienne en poste à Washington DC, du nom de  Dheihi avec une violence inouïe tout simplement parce-que le frère de cette dernière fut un ex-membre du bureau exécutif de IRA-MAURITANIE.

Le fils du ministre de la justice pistonné, maitre Brahim Ould Dadda a eu déjà de serieux problèmes avec la justice américaine sur une histoire de viole d’une américaine. C’est tout simplement hallucinant en écoutant les audios.  



journal de maintenant - mardi 21 novembre 2017