mercredi 15 janvier 2014

corruption - un des systèmes & avec les intimidations qui vont avec

Ce que je reçois de source non identifiée, et que mes amis mauritaaniens n'identifient pas non plus. Mais dont ils autentifient les affirmations, lesquelles coincident avec des signes de retrait de la Banque Islamique de Développement.
 
----- Original Message -----
Sent: Wednesday, January 15, 2014 5:21 PM
Subject: Info importante concernant la corruption

> Bonjour,
>
> Ce jour, mondafrique, noorinfo et cridem ont publié des informations relatives
> à Somelec et Wartsila.
>
> En voici d'autres que je laisse à votre appréciation. Je suis persuadé que
> vous saurez en faire bon usage. Des hommes prennent des risques pour vous
> informer, merci de prendre connaissance de ces éléments le plus rapidement possible.
>
> PIECE #A
>
> La production de cette note contributive a pour but essentiel et sans parti
> pris, d’édifier l’Etat Mauritanien, (premier garant des intérêts du pays et
> soucieux de sauvegarder les préoccupations majeures des populations actuelles ainsi
> que de celles des générations futures) ainsi que des Bailleurs de Fonds, sur
> les réels dangers sous jacents et à impact généralisé, qui risquent de détruire,
> tout simplement, tous les efforts entrepris jusqu’ici, permettant d’éviter des
> conséquences désastreuses d’absence de discernements de certains responsables
> nationaux à la tête de nos Sociétés d’Etat.
>
> Qu’il soit également compris, que le respect et l’attachement aux principes de
> transparence et de la bonne gouvernance, devront en tous lieux et en tous
> instants, présider le comportement exemplaire de tout un chacun, à quelques niveaux
> qu’il soit.
> Malheureusement, le contraire est entrain de se produire, au grand dam et au
> grand désarroi de cadres nationaux, dont le seul leitmotiv est de servir le
> pays, avec loyauté, désintéressement et soucieux avant toute chose, de laisser
> inviolable leur crédibilité et leur patriotisme, à toute épreuve, face aux mépris
> de la chose publique-nationale,  à l’intérieur qu’à l’extérieur.
> En effet, le marché de 120 MW, découlant de l’Appel d’Offre International, et
> piloté par la SOMELEC, vient de faire l’objet de l’examen des offres techniques
> et de l’ouverture des plis financiers, par la commission mise en place.
> N’eussent-été la nature et la frénésie avec lesquelles les tractations et
> manœuvres sont savamment dirigées par la plus haute autorité de notre société
> nationale d’électricité, bien souvent avec maladresses, le pot au rose ne serait
> jamais mis à nu.
> Comme on le sait, les précisions et indications livrées dans le DAO,  ne
> devront laisser porte à aucune ambigüité ni confusion, dans le système de notations
> à appliquer.
> Bien malheureusement, la première autorité de la Société, a tout bonnement
> insisté, en dépit du désaccord  clairement exprimé par les autres Ingénieurs sur
> l’utilité et la pertinence d’utiliser un système de notations des plus bizarre
> et incohérent, car ne se fondant sur aucune logique ni démarche scientifique.
> En outre, il est apparu, que ledit système, n’a jamais été utilisé ni en
> Mauritanie, ni dans la sous-région et qui consiste notamment, à calculer la
> consommation des centrales, en fuel et en gas-oil sur une période de 20 ans.
> L’Ingénieur Conseil qui avait été recruté, malgré la volonté manifeste de
> l’autorité de la SOMELEC, qui a porté son choix sur un autre, n’était pas également
> convaincu de la « Méthode d’Evaluation » du DG, mais qui s’est plié arguant
> que « le Client est roi et qu’il ne peut aller contre l’avis de son Client ».
> Et c’est de bonne guère, que le DG, qui entretenaient des relations
> privilégiées avec l’Agent de MAN, et que par ailleurs il nous martèle que WARTSILA est
> avec un homme d’affaires Mauritanien de la place ( en réalité c’est lui en
> question) en Mauritanie, pendant 30 ans et qui le défendait bec et ongles, parce que
> MAN et ses protégés, a tout simplement pris la décision de ne plus travailler
> avec le DG de la société nationales d’électricité, qui , au demeurant, s’est
> rendu à deux reprises (deux jeudi, plus précisément) à Paris, à la faveur des
> week-end (départ le jeudi et retour le samedi), pour préparer l’option cachée, afin
> que son protégé WARTSILA, passe.
> Les incursions soutenues du DG, dans ce dossier, et au grand étonnement de la
> Commission, vu les chiffres indicateurs qui se sont dégagés, au terme de
> l’ouverture des offres financières, ont fait planer la suspicion :
> - CMEC : + 139 Millions de dollars US
> - WARTSILA France SA: + 153 Millions d’Euros
> - TSK- INGEMA: + 125 Millions d’Euros + 2,8 Milliards  MRO.
> Quelques considérations purement techniques
> Les considérations techniques occultées sciemment par le DG, livrées entre
> autres, pour étayer les agissements de ce dernier dans tout le processus, alors
> qu’il devait observer un droit de retenue et de réserve, constituent à souhait,
> la preuve irréfutable de son empreinte dans ce dossier.
> La coque du moteur est MAN, mais tous les équipements et accessoires ainsi que
> les moyens humains sont d’origine Chinoise, faits troublants et qui appelle
> une méfiance technique d’exécution connue par nous au niveau de la Mauritanie, en
> prenant tout simplement pour référence et justificatifs probants, la Centrale
> Chinoise de Nouakchott, qui après un fonctionnement cahoteux d’une année et
> demie, a rendu aussitôt l’âme, jusqu’à ce jour.
> Sur un autre plan, les Chinois n’ont pas chiffré beaucoup d’éléments dans leur
> offre financière ; ce qui suppose, une mauvaise intention de vouloir récupérer
> tous les ITEMs, qui n’ont pas fait l’objet d’une évaluation dans l’offre.
> A cela s’ajoute l’exigence sans équivoque des Chinois et portant sur
> l’obtention d’un Crédit Documentaire, irrévocable et confirmé, pendant la durée
> d’exécution qui est de l’ordre de 15 à 20 Millions de dollars US, selon les Banques,
> plus de leur demande d’actualisation du marché, dont le montant n’est pas connu,
> ce qui n’est pas contractuel.
> En conséquence et en toute évidence, pour la Commission, leur disqualification
> peut-être comprise, malgré qu’ils ont avancé un prix intéressant, mais à très
> haut risque.
> Qu’elle ne fût encore notre grande surprise et incompréhension totale, de
> constater que notre cher DG, au demeurant « extrêmement compétent », plus compétent
> que l’Ingénier Conseil qui le suit aveuglément dans tout ce qu’il entreprend
> et qui impose ses avis aux autres membres de la Commission, en leur soufflant
> dans le creux de l’oreille, que se sont des « Instructions émanant de la plus
> Haute Autorité du Pays », qui ont dicté son choix sur WARTSILA France SA, même si
> cette société est la plus chère, et qu’à ce titre, il est tenu de s’exécuter.
> Cependant, le problème est que la différence est démesurément grande et
> criarde, presque le double de l’Offre Chinoise, avec un écart de 40 à 50 Millions de
> dollars US.
> En outre, si l’on considérait l’exigence des Chinois (Crédit Documentaire,
> irrévocable, confirmé et pendant toute la durée d’exécution), identique à tous
> points de vue à WARTSILA France SA, contrairement à TSK et en argumentant que la
> différence de prix sera récupérée en quelques années avec des économies sur la
> consommation, ce qui à notre avis, est purement absurde, car des impondérables
> ou autres évènements non maîtrisables et inattendus, peuvent surgir à tout
> moment, d’autant plus que les prévisions font que la Centrale sera approvisionnée
> dans un an et demi, par le gaz naturel, d’où l’autre exigence d’avoir des
> Centrales DUAL.
> Dans leur démarches et justifications tant irrationnelles que dirigées,
> certains membres de la Commission, sur instructions du DG, ont évoqué des arguments
> des moins illogiques et non convaincants, genre, l’évolution du prix du fuel sur
> 12 ans, comme s’ils étaient sûrs, certains et à même de maîtriser l’état de
> d’évolution des fluctuations des prix de ce combustible, suer 12 ans.
> Une autre contradiction des plus flagrante ayant cette fois trait, à
> l’environnement et les répercussions nocives sur la santé des habitants de Nouakchott et
> qui ne peut échapper à l’esprit, c’est l’affirmation avancée et relative au
> fait que les moteurs MAN, dégagent du carbone d’une dangerosité extrême, alors
> que et paradoxalement, WARTSILA, a retenu les mêmes moteurs MAN de 12 Cylindres.
> Cette autre anomalie, fausse tout simplement et de manière substantielle les
> prix , en raison que les deux propositions de MAN et de WARTSILA, prévoient les
> mêmes moteurs et de 12 Cylindres.
> Le comble, est que le DG de notre société nationale, avec une forte pression
> de sa part auprès des membres de la Commission, s’est résolument engagé dans
> des négociations avec WARTSILA, à tort et sans état d’âme. La logique aurait par
> contre dicté, dans ce cas de figure de retenir le classé deuxième.
> Tout le monde a essayé, en vain, de ramener à la raison le DG de nE pas aller
> dans ce sens, mais il demeure inflexible et son insouciance têtue de donner
> plusieurs millions à WARSILA, en dépit que le pays est dans le besoin et que ses
> Autorités sont résolument engagées dans la gestion réfléchie et rationnelle des
> rares ressources financières dont elles disposent, pour subvenir aux
> préoccupations premières et pressantes des populations mauritaniennes, bien déjà
> déshéritées.
> Un autre problème technique non moins important et qui pourrait si l’on n’y
> prenait garde, de créer des surprises des plus désagréables, est le transport des
> moteurs.
> En effet, devant le poids colossal des moteurs MAN de l’ordre de 500 Tonnes,
> l’une des sociétés soumissionnaires, en l’occurrence TSK, a étudié en détail le
> transport des équipements lourds, jusqu’à leur destination finale, avec
> sécurité et garantie, ce que WARTSILA et CMEC, n’ONT pas fourni dans leurs offres.
> A ce niveau, il est fortement déconseillé, suite à des consultations
> approfondies s’appuyant prioritairement sur les conseils du fabricant, techniquement et
> économiquement, le démontage des moteurs, hors le découplage du moteur et le
> générateur. Ceci laisse un poids  sécurisant des moteurs, d’environ 280 Tonnes
> l’unité.
> Les caractéristiques du Port Autonome de Nouakchott et ses capacités réelles,
> ne permettant pas d’assurer la prise en charge de cette opération, qui
> requiert, du reste, une grande prudence et veille, le débarquement des moteurs à
> Nouakchott, est à écarter, en raison que le poids maximum qui peut-être déchargé, est
> moindre.
> La seule alternative qui peut s’offrir, étant l’entrée des moteurs en
> Mauritanie par le Port de Nouadhibou et le transport jusqu’au site d’hébergement et
> d’installation, sera routier, utilisant la voie Nouadhibou-Nouakchott (480 km).
> Il est à préciser, que l’opération a fait l’objet d’une étude et approches
> minutieuses et incluse dans l’offre de TSK.
> Il a été permis de relever, pour cette société, que tous  les équipements et
> systèmes que la SOMELEC, a indiqués pour la puissance de 180 MW
> (Surdimensionnement des équipements, dans la phase future), ont été inclus avec l’offre
> technique et économique.
> Donc, si le souci économique à faire prévaloir, ce sont le Chinois qui
> passent.
> Si nous recherchons, la qualité, l’assurance et la garantie, c’est TSK.
> Par contre, si nous suivons aveuglément, sans discernement et avec une absence
> totale de prudence les agissements, le trafic d’influence et le manque de
> scrupule de notre cher DG, qui veut faire preuve de largesses et bafouer toutes les
> règles et conduites de probité et de premier défenseur des intérêts de notre
> pays, car prêt à jeter par la fenêtre 80 Millions de dollars, US, non
> compte-tenu d’autres préjudices à notre économie nationale, le bon choix , c’est
> WARTSILA.
>
>
> PIECE #B
>
>
> TEXTE EMAIL – 23/3/13
> DOCS SOMELEC (MARCHÉ CENTRALE)
>
> Suite a  une évaluation très intéressée pour des raisons d'intérêt d'une
> partie de la commission des marchés nous avons décider de vous communiquer la vérité
> dans l'intérêt suprême de notre pays .
>
> Comme suite à l’analyse du "Rapport d'analyse des propositions financières",
> relatif au marché de la Centrale de 120 MW de Nouakchott, nous entendons qu'il
> reste parfaitement clair, sur le manque total et partisan d'exactitude du
> procédé d'évaluation ainsi que sur les contre vérités présentés  qui ont de manière
> formelle, entachés toute la procédure d’évaluation. Ces assertions sont étayées
> dans les points suivants :
>
>
> -          Les offres de CMEC et de Wartsila présentent  des déviations
> commerciales sur les  spécifications dans le DAO, dans lequel il est clairement
> indiqué dans la Section I (IS) point 17.2 “Les soumissionnaires sont tenus de
> fournir un prix reflétant les obligations commerciales, contractuelles et techniques
> spécifiées dans le Dossier d’appel d’offres”. Ces obligations commerciales et
> contractuelles sont détaillées dans les points du DAO qui sont indiqués ensuite
> ci-après :
>
> o   La lettre de crédit n'est pas acceptée, voir Section IX Formulaires du
> Marche, page 7, point 5.
> o   Terme de paiement, voir Section IX Formulaires du Marche, annexe 1.
> o   Des taxes et des impôts, voir Section VIII CCAP, Clause 14.
> o   D'autres conditions commerciales et financières, voir Section VIII CCAP et
> Section IX Formulaires du Marche.
>
> Par conséquent,  nous estimons que le non respect de ces obligations car
> prescriptions du cahier des charges  constitue de facto un motif sans appel et de
> disqualification immédiat, fermant la porte à toute négociation possible avec les
> soumissionnaires incriminés. Toute autre décision contraire prise, constitue
> une infraction et violation des prescriptions de l'appel d'offres.
> -          L'offre de CMEC présente une réserve en ce qui concerne la nature
> du sol de la centrale. C’est important de rappeler que dans la note explicative
> nº2 du 08/05/12 reçue par TSK, Il avait été fait une mention expresse sur ce
> point, notamment dans la question C.19 :
>
> Clarification nºC19 :  Conditions de sol et de terrain
> Vous émettez une série de réserves importantes concernant les fondations:
>
> •           la portance du sol est limitée à >2,5 kg/cm²
> •           pas de fondations spéciales
> •           parcelle préparée
>
> Ceci alors qu'il est bien précisé (section 6, §2.3.2 Ouvrages de génie civil
> et fondations) que tous ces points sont en fait de la responsabilité de
> l'entreprise.
>
> Nous vous prions de confirmer que vous acceptez sans réserve les dispositions
> du DAO au sujet des fondations.
>
> Réponse du soumissionnaire :
>
> Se retirent les réserves citées concernant les fondations : nous confirmons
> notre acceptation sans réserve des dispositions du DAO au sujet des fondations.
>
>
> Étant donné qu’il a été demandé à TSK d'accepter ce point sans réserves, il
> est incompréhensible que le soumissionnaire CMEC ait pu contourner la procédure
> d'évaluation technique sans accepter également le dit point, ce qui constitue à
> tous points de vue, une infraction aux procédures de l'appel d'offres.
>
>
> -          L'unique offre qui ne présente aucun type de déviation est celle
> présentée par TSK, qui a totalement respecté les spécifications tant techniques
> que commerciales telles que définies dans le dossier d’appel d’offres. Pour
> toutes ces raisons, il apparaît clairement que l'offre de TSK/INGEMAS est l'unique
> soumissionnaire qui devrait, en toute logique, être déclarée adjudicataire,
>
>
> En ce qui concerne les garanties opérationnelles et les pénalités prévues et
> applicables, le DAO établit dans la Section IX,  Annexe 8, ce qui suit :
>
> 4.       Non-respect des garanties opérationnelles et pénalités
>
> 4.1     Non-respect des garanties opérationnelles relatives à la capacité de
> production
> Si la capacité de production des Installations, obtenue dans le test de
> garantie, en appli- cation de la Clause 25.2 du CCAG, est inférieure au chiffre
> figurant au paragraphe 3.1 ci- dessus, mais que la capacité de production effective
> atteinte dans le test de garantie n'est pas inférieure au niveau minimum
> précisé dans le paragraphe 4.3 ci-dessous, et que l'Entrepreneur choisit de payer des
> pénalités au Maître de l'ouvrage au lieu de procéder à des changements,
> modifications et/ou additions aux Installations, conformément à la Clause
> 28.3 du CCAG, alors l'Entrepreneur payera ces pénalités au taux de 1% du
> montant total du marché pour chaque 1% de puissance manquant dans la capacité de
> production des Installations.
>
> 4.2     Consommation de matières premières et de produits énergétiques en
> excès par rapport aux niveaux garantis.
> Si le chiffre mesuré de consommation de matières premières et de produits
> énergétiques spécifiés par unité (ou le coût moyen total de ces consommations)
> dépasse la valeur garantie dans le paragraphe 3.2 ci-dessus (ou le coût moyen total
> spécifié de ces consommations), mais que la consommation obtenue dans le test
> de garantie, en application de la Clause 25.2 du CCAG, ne dépasse pas le niveau
> maximum figurant dans le para- graphe 4.3 ci-dessous, et que l'Entrepreneur
> choisit de payer des pénalités au Maître de l'ouvrage au lieu de procéder à des
> changements, modifications et/ou additions aux Installations, conformément à la
> Clause 28.3 du CCAG, alors l'Entrepreneur payera ces pénalités au taux de 1 %
> du montant total du marché pour chaque pour cent de consommation en excès, ou
> partie de celui-ci.
>
> 4.3     Transformateurs
> Les valeurs de fonctionnement garanties seront assorties des pénalités
> suivantes : (P étant le prix de la fourniture, transport exclu)
> Echauffement:
> La pénalité sera de 0,75% de P par °C de dépassement de l'échauffement
> prescrit.
> Pertes:
> La pénalité sera de 0,5% de P par % au dessus de la tolérance.
> Tension de court-circuit:
> La pénalité sera de 0,7% de P par % au delà de la tolérance de ±10% (garantie
> de marche en parallèle).
> Courant à vide:
> La pénalité sera de 0,2% de P par 1/1000e d'écart au-delà de la tolérance de
> 30%.
> Rapport de transformation à vide sur prise moyenne:
> La pénalité sera de 1,4% de P par 1/1000e d'écart au-delà de la tolérance
> (1/200e du rap- port garanti).
>
> 4.4     Niveaux minimums
> Nonobstant les dispositions de ce paragraphe, si suite au(x) résultat(s) d'
> (un) essai(s) de garantie, les niveaux minimums suivants de garantie
> opérationnelle (et de garantie de consommations) ne sont pas atteints par l'Entrepreneur,
> l'Entrepreneur sur ses propres deniers remédiera aux défauts jusqu'à ce que les
> Installations atteignent les niveaux de performance suivants, conformément à la
> Clause 28.2 du CCAG:
> a)       capacité  de  production  des  Installations  atteinte  dans  les
> essais  de  garantie:
> Quatre-vingts quinze pour cent (95 %) de la capacité de production garantie
> et/ou
> b)       coût total moyen de consommation de toutes les matières premières et
> produits énergétiques de l'Installation: cent cinq pour cent (105 %) des
> valeurs garanties (les chiffres offerts par l'Entrepreneur dans son offre pour les
> garanties fonctionnelles représentent 100%).
>
> 4.4     Limitation de la responsabilité
> Sous réserve du paragraphe 4.3 ci-dessus, la somme totale des pénalités qui
> peuvent être demandées à l'Entrepreneur pour non atteinte des garanties
> opérationnelles n'excédera pas dix pour cent (10 %) du montant du Marché.
>
>
> PIECE #C
>
> En plus:
> - Du marché WARTSILA: appel d'offres et commission de 10 Mo€ au fils d'Aziz
> --> Tout le dossier
> - Du nouveau marché de gré à gré avec WARTSILA Finlande (avenant que je vous
> ai envoyé)
>
> en plus:
> 1. J'avais aussi passé des éléments sur la situation financière SOMELEC en
> général, au bord de la faillite en permanence --> sous perfusion permanente de
> l'Etat mauritanien (j'ai les documents des renflouements en question), de l'AFD
> (65 Mo€ prêtés en 2010-2011, info publique sur le site AFD et ambassade France
> etc, pas remboursés) et des bailleurs comme la BID. Malgré ceci il n'y a pas
> d'électricité, au point qu'il y a quelque temps l'Etat avait demandé au patronat de
> faire fonctionner les usines la nuit (de minuit à 6 heures) pour permettre de
> moins couper le courant dans les quartiers des villes la journée... Et je ne
> parle pas des villes de moindre importance.
>
> 2. Autre élément important: pour faire fonctionner les 150 MW qui sont la
> puissance totale de SOMELEC à ce jour, on n'a pas besoin de plus de 300 employés.
> Mais depuis AZIZ, ils sont 1800 car en fait la SOMELEC sert de police politique
> / de force d'intimidation. Les opposants ou tout simplement ceux qui résistent
> un peu à l'autorité du BASEP se voient couper l'électricité et même accuser
> d'avoir fraudé en manipulant leurs compteurs. Un homme d'affaires a même récemment
> été facturé l'équivalent de 50 000 US$.
>
> 3. D'après mes informations, un VP de la BID, XX, a touché de l'argent
> directement de WARTSILA. C'est peut-être aussi à cause d'une enquête interne à son
> sujet que les représentants de la BID travaillent sur le sujet.

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