Samedi 18 Août 2012
Bouclant cette note par laquelle je tente une synthèse à proposer aussi bien dans le pays qu’à Paris et à Bruxelles, je fais le point avec un de mes amis mauritaniens, l’un des plus grands défenseurs des droits de l’homme, et donc observateur très pratique des dictatures successives depuis qu’il a prêté serment d’avocat. Il a même été emprisonné en 1998 quelques mois…
Ould Dadde et Biram ?
Des rumeurs circulent qu'ils feront partie de la grâce d'El Aïd, sans donner le moindre crédit à cette information qui peut pourtant se réaliser, il faut dire que nous travaillons pour une audience de la cour d'appel juste après la fête pour le cas Dadde
Quant au dossier Biram, il y a une séance d'instruction programmée par le juge le 22/8, mais Biram a décidé de ne mas répondre au juge s'agissant d'une mascarade où la décision avait été dictée par Ould Abdel aziz lorsqu'il avait déclaré le premier jour et avant l'arrestation de Biram qu'il subira la sanction la plus sévère
La loi interdisant le nomadisme politique a été prise pour donner du crédit au dialogue, quant à celle sur l'institution du chef de l'opposition démocratique, il s'agit d'un texte qui vise Ahmed et lors des débats à l'assemblée nationale, les députés de l'opposition n'ont pas hésité à le dire
Pour ce qui est de l'exercice de Aziz à ATAR, il fut un véritable échec sur le plan communication, sur le plan démocratique, mais aussi et surtout, la prestation fut une œuvre de mensonge, de contre vérités et donc de faux chiffres
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