Même si la traduction n'est qu'approchée, les discours en ligne du général-président régnant sont atterrants de médiocrité. Je relève qu'il n'y a toujours pas d'évocation de Moktar Ould Daddah à l'anniversaire du 28 Novembre 1960. Le ressassement de ce qui est sain ou doit l'être, en ouverture d'un colloque sur l'Islam et l'extrêmisme.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire