Mauritanien d'adoption depuis un service national français effectué à l'Ecole nationale d'administration mauritanienne (Février 1965 . Avril 1966), je souhaite dialoguer ce que je continue d'apprendre de la Mauritanie, et - avec mes amis mauritaniens - ce que je sais du legs de leur fondateur moderne : Moktar Ould Daddah, qui me surnomma Ould Kaïge (Mars 1974). L'accompagnant à son retour d'exil (Juillet 2001), j'eus l'honneur de relire ses mémoires. - b.fdef@wanadoo.fr
lundi 29 février 2016
dimanche 28 février 2016
vendredi 26 février 2016
jeudi 25 février 2016
mercredi 24 février 2016
dossier de la drogue en Mauritanie - suite . L'Authentique repris par Cridem
24-02-2016 09:54 - Dossier de la drogue en Mauritanie : Chaînons manquants d’une affaire internationalisée
L'Authentique - Le dossier 101/RP
actuellement sur la table du Parquet relatif à la dernière affaire de la drogue
est en train d’avoir de dangereuses ramifications qui se prolongeraient sur la
scène internationale.
C’est en tout cas à cela que s’activent les partis politiques de l’opposition qui essaient de retrouver les chaînons manquants dans cette affaire, et qui n’écartent pas la perspective de la porter devant la justice internationale. Les avocats des détenus pour leur part ont promis de faire des révélations sur un dossier dont les inconnues restent encore toutes entières.
La dernière affaire de drogue dans laquelle sont impliqués les deux fils de l’ancien président Haïdalla ainsi que quinze autres personnes, dont trois contre lesquels les autorités judiciaires mauritaniennes ont lancé un mandat d’arrêt international, ne finit point encore.
Au plan national comme au plan international, on continue en effet de considérer que le dossier RP/101 actuellement posé sur la table du parquet et relatif à cette affaire comporterait plusieurs zones d’ombres et des chaînons manquants. Lors de sa dernière sortie, le ministre de la Justice, a soutenu, en marge du dernier conseil des ministres, que dix-sept personnes seraient impliquées dans ce dossier qui porte sur une quantité de 1,3 tonne de drogue. Le produit aurait été introduit en Mauritanie par voie maritime dans la zone de La Guera, près de Nouadhibou. Il aurait été par la suite transporté à bord de véhicules Tout Terrain à travers la zone de Mheïjaratt, 120 kilomètres au Nord de Nouakchott sur la route de Nouadhibou.
Au niveau de la scène publique, nombreux sont ceux qui notent des zones d’ombre dans cette affaire, même après l’interrogatoire des suspects. Ces derniers perçoivent dans cette affaire, un lien étroit avec les précédents dossiers de drogue que la Mauritanie a connus , surtout en 2007. Ils considèrent qu’à l’époque, le dossier a été clos sans suite d’une manière suspecte, ce qui fait craindre une fin similaire au dossier en cours.
En réalité, les observateurs croient que le nombre des personnes impliquées dans cette affaire n’est pas encore déterminé avec exactitude, notamment les véritables commanditaires, hormis Sidi Mohamed Ould Haïdalla et trois autres individus actuellement recherchés sur le plan international, parmi lesquels un Azawadi du nom de Azizi Alewatt qui aurait réussi à s’enfuir. Son nom n’aurait apparu en aucun moment de l’enquête, même durant l’interrogatoire du présumé cerveau Sidi Mohamed Haïdalla.
Ce qui est sûr, c’est que le FNDU (Forum national pour la démocratie et l’unité) s’est invité dans le débat, brandissant les menaces d’une internationalisation de l’affaire si les autorités mauritaniennes cherchent une fois de plus à mettre un rideau sur ce dossier sans aller jusqu’au bout de la procédure judiciaire. Selon Me Ahmed Salem Ould Bouhoubeïny qui s’exprimait lors d’un point de presse organisé par le FNDU hier, l’opposition n’acceptera plus que la Mauritanie serve de plaque tournante de la drogue dans la région. Selon lui, ce dossier ne connaîtra pas le sort obscur des autres dossiers que le pays a déjà connus.
Mais la surprise risque de provenir des avocats constitués pour la défense des personnes actuellement accusées dans la dernière affaire, Sidi Mohamed Ould Haïdalla et consorts. Le collectif de défense se prépare au moment où ces lignes sont écrites à animer une conférence de presse à l’hôtel Khatter pour apporter des éclaircis dans ce dossier. Les avocats ont promis de répondre aux questions jusque-là sans réponse de l’opinion dans cette affaire et de donner des informations importantes, voire citer des noms !
Affaire à suivre d’autant plus que lors de sa sortie de la semaine dernière, l’ancien Chef d’Etat Mohamed Khouna Ould Haïdalla avait demandé au président de la République de procéder à “l’arrestation du principal acteur dans cette dernière affaire”. De qui s’agit-il ? Ould Haïdalla semble le connaître, les avocats de ses enfants aussi.
On verra bien.
Cheikh Aïdara
C’est en tout cas à cela que s’activent les partis politiques de l’opposition qui essaient de retrouver les chaînons manquants dans cette affaire, et qui n’écartent pas la perspective de la porter devant la justice internationale. Les avocats des détenus pour leur part ont promis de faire des révélations sur un dossier dont les inconnues restent encore toutes entières.
La dernière affaire de drogue dans laquelle sont impliqués les deux fils de l’ancien président Haïdalla ainsi que quinze autres personnes, dont trois contre lesquels les autorités judiciaires mauritaniennes ont lancé un mandat d’arrêt international, ne finit point encore.
Au plan national comme au plan international, on continue en effet de considérer que le dossier RP/101 actuellement posé sur la table du parquet et relatif à cette affaire comporterait plusieurs zones d’ombres et des chaînons manquants. Lors de sa dernière sortie, le ministre de la Justice, a soutenu, en marge du dernier conseil des ministres, que dix-sept personnes seraient impliquées dans ce dossier qui porte sur une quantité de 1,3 tonne de drogue. Le produit aurait été introduit en Mauritanie par voie maritime dans la zone de La Guera, près de Nouadhibou. Il aurait été par la suite transporté à bord de véhicules Tout Terrain à travers la zone de Mheïjaratt, 120 kilomètres au Nord de Nouakchott sur la route de Nouadhibou.
Au niveau de la scène publique, nombreux sont ceux qui notent des zones d’ombre dans cette affaire, même après l’interrogatoire des suspects. Ces derniers perçoivent dans cette affaire, un lien étroit avec les précédents dossiers de drogue que la Mauritanie a connus , surtout en 2007. Ils considèrent qu’à l’époque, le dossier a été clos sans suite d’une manière suspecte, ce qui fait craindre une fin similaire au dossier en cours.
En réalité, les observateurs croient que le nombre des personnes impliquées dans cette affaire n’est pas encore déterminé avec exactitude, notamment les véritables commanditaires, hormis Sidi Mohamed Ould Haïdalla et trois autres individus actuellement recherchés sur le plan international, parmi lesquels un Azawadi du nom de Azizi Alewatt qui aurait réussi à s’enfuir. Son nom n’aurait apparu en aucun moment de l’enquête, même durant l’interrogatoire du présumé cerveau Sidi Mohamed Haïdalla.
Ce qui est sûr, c’est que le FNDU (Forum national pour la démocratie et l’unité) s’est invité dans le débat, brandissant les menaces d’une internationalisation de l’affaire si les autorités mauritaniennes cherchent une fois de plus à mettre un rideau sur ce dossier sans aller jusqu’au bout de la procédure judiciaire. Selon Me Ahmed Salem Ould Bouhoubeïny qui s’exprimait lors d’un point de presse organisé par le FNDU hier, l’opposition n’acceptera plus que la Mauritanie serve de plaque tournante de la drogue dans la région. Selon lui, ce dossier ne connaîtra pas le sort obscur des autres dossiers que le pays a déjà connus.
Mais la surprise risque de provenir des avocats constitués pour la défense des personnes actuellement accusées dans la dernière affaire, Sidi Mohamed Ould Haïdalla et consorts. Le collectif de défense se prépare au moment où ces lignes sont écrites à animer une conférence de presse à l’hôtel Khatter pour apporter des éclaircis dans ce dossier. Les avocats ont promis de répondre aux questions jusque-là sans réponse de l’opinion dans cette affaire et de donner des informations importantes, voire citer des noms !
Affaire à suivre d’autant plus que lors de sa sortie de la semaine dernière, l’ancien Chef d’Etat Mohamed Khouna Ould Haïdalla avait demandé au président de la République de procéder à “l’arrestation du principal acteur dans cette dernière affaire”. De qui s’agit-il ? Ould Haïdalla semble le connaître, les avocats de ses enfants aussi.
On verra bien.
Cheikh Aïdara
mardi 23 février 2016
lundi 22 février 2016
dimanche 21 février 2016
samedi 20 février 2016
le régime s'acharne contre la veuve d'Ahmedou Ould Mohamed Ould Abdel Aziz - Mushahide repris par Cridem
20-02-2016 17:16 - Détails du coup d’Etat en douce au sein de la famille du Président mauritanien
Mushahide – Des détails complets
relatifs au coup d’Etat en douce, mené par la famille du Président mauritanien
contre la veuve de son fils, le défunt Ahmedou Ould Mohamed Ould Abdel
Aziz, sont désormais accessibles sur la toile.
La décision de limogeage de Sayda Mint Sidi Aly, veuve du fils du Chef de l’Etat, de la présidence de la Fondation Rahma de bienfaisance est intervenue, une semaine après son arrivée à la direction de cette ONG, rapportent des sources.
Sayda avait refusé auparavant, de remettre à la famille présidentielle un PC, appartenant à El Marhoum Ahmedou Ould Abdel Aziz et renfermant des informations confidentielles d’extrême importance, se rapportant notamment à ses activités et à ses comptes bancaires ouverts à l’étranger.
Ne parvenant pas à mettre la main sur le précieux PC, le Président mauritanien a demandé à un haut officier de la garde présidentielle d’aller au domicile de Mint Sidi Aly et de l’obliger à remettre l’ordinateur demandé.
Le Président mauritanien a décidé par la suite, de confier à la sœur de son fils disparu, Esma mint Abdel Aziz, la présidence de la fondation Rahma de bienfaisance.
Une mesure abandonnée, sous les pressions de la Première Dame Tekeiber Mint Ahmed, selon laquelle, cette décision précitée exclut son ainé Beder Ould Abdel Aziz.
En effet, elle a convaincu son mari de la nécessité de confier la présidence de l’association à Beder, afin de redorer son blason auprès de l’opinion, après le célèbre incident de la balle amie.
Traduit de l’Arabe par Cridem
La décision de limogeage de Sayda Mint Sidi Aly, veuve du fils du Chef de l’Etat, de la présidence de la Fondation Rahma de bienfaisance est intervenue, une semaine après son arrivée à la direction de cette ONG, rapportent des sources.
Sayda avait refusé auparavant, de remettre à la famille présidentielle un PC, appartenant à El Marhoum Ahmedou Ould Abdel Aziz et renfermant des informations confidentielles d’extrême importance, se rapportant notamment à ses activités et à ses comptes bancaires ouverts à l’étranger.
Ne parvenant pas à mettre la main sur le précieux PC, le Président mauritanien a demandé à un haut officier de la garde présidentielle d’aller au domicile de Mint Sidi Aly et de l’obliger à remettre l’ordinateur demandé.
Le Président mauritanien a décidé par la suite, de confier à la sœur de son fils disparu, Esma mint Abdel Aziz, la présidence de la fondation Rahma de bienfaisance.
Une mesure abandonnée, sous les pressions de la Première Dame Tekeiber Mint Ahmed, selon laquelle, cette décision précitée exclut son ainé Beder Ould Abdel Aziz.
En effet, elle a convaincu son mari de la nécessité de confier la présidence de l’association à Beder, afin de redorer son blason auprès de l’opinion, après le célèbre incident de la balle amie.
Traduit de l’Arabe par Cridem
Les articles, commentaires et propos sont la
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Source : Mushahide (Mauritanie)
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· pyranha (H) 21/02/2016 12:15
Moi même je voyais l’incohérence de confier cette
fondation à un individu dont la mauvaise réputation n'est un secret pour
personne .Je vous assure que j'ignorais totalement la vie privée de cette
famille présidentielle,mais je me disais que la direction de cette fondation a
certainement des dessous de conflit au sein de notre mystérieuse Présidence.Et
voilà que qq chose de vraisemblable commence à pointer....
· Sabre de la verité (F) 21/02/2016 02:14
Mr Le Président Mohamed Abdel Aziz devrait faire
un film après son mandat sur sa vie de Président il en a tellement baver(on lui
a tirer dessus;son fils Bedr a jouer a qui veut tirer la gâchette..le décès
tragique de son fils) avec tout çà il est toujours la, il reste debout et va de
l avant avec toutes les responsabilités qu il a. c est évident que cet homme
est doté d un courage exceptionnel...après une longue analyse ce MR est un
Grand Homme je le reconnais!( c est mon opinion).
· lass77 (H) 20/02/2016 22:56
C'est quel spectacle tout ça ??? Aziz n'a pas
pris conscience de cette disparition ??? Et bien l'etre Humain ! massaykkine .
Il est temps qu'Aziz se comporte en president juste entre tous ses citoyens ,
s'éloigne du népostisme et du despostisme etc... Qu'il soit un dirigeant
visionnaire dans l’intérêt de son peuple au lieu de se soucier des interets
égoistes qui vont le conduire au fond de l'enfer à yooumoul khiyama. ça suffit
mon Dieu.
· Farica (H) 20/02/2016 21:26
Triste!
· cardrichelieu (F) 20/02/2016 18:05
C'est ainsi que fonctionne le cartel de Medellín
en Colombie!!!
· Ksaleh (H) 20/02/2016 17:54
Tout ceci fait vraiment pitié !
· Gorkovitch (H) 20/02/2016 17:22
Rien que de la pourriture! Ce monsieur devait
normalement être derrière les barreaux.
vendredi 19 février 2016
jeudi 18 février 2016
mercredi 17 février 2016
mardi 16 février 2016
lundi 15 février 2016
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jeudi 11 février 2016
mercredi 10 février 2016
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samedi 6 février 2016
vendredi 5 février 2016
jeudi 4 février 2016
mercredi 3 février 2016
mardi 2 février 2016
Ould Abdel Aziz interrompt sa visite en Egypte, après l’arrestation du fils de Ould Haidalla et d’autres personnes - Taqadoumy repris par Cridem
Taqadoumy – Sidi Mohamed
Ould Haidalla, fils de l’ancien Chef de l’Etat mauritanien, Mohamed
Khouna Ould Haidalla, a été arrêté par la police antidrogue, après la
perquisition de son domicile sis dans les alentours de l’épicerie Big
Market, sur l’axe Nouadhibou.
D’autres personnes ont été arrêtées dans un endroit sis hors de Nouakchott, sur la route de la capitale économique, indiquent des sources privées, selon lesquelles leur interpellation serait en rapport avec celle de Haidalla fils, précisant qu’ils détenaient en leur possession des 4X4 luxueuses.
Les mêmes sources affirment que ces rebondissements seraient en connexion avec une opération de trafic de quantités de drogue découvertes par les autorités publiques, au terme d’un suivi minutieux des appels téléphoniques effectués ces derniers temps par Sidi Mohamed Ould Haidalla.
Une réunion sécuritaire a été organisée pour la circonstance en présence de Ould Ghazouani, du directeur de la sureté et du chef d’état-major de la gendarmerie.
Objectif : examiner l’opération qui a conduit à l’arrestation de Ould Haidalla et qui, selon des sources, a été à l’origine de l’annulation d’une visite que le Président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz devait effectuer en République d’Egypte.
Ould Haidalla fils avait été accusé d’implication dans un trafic de drogue, à travers l’aéroport de Nouadhibou. Il a fait 7 ans de prison au Maroc à la suite de son accusation de trafic de drogue.
Traduit de l’Arabe de Cridem
D’autres personnes ont été arrêtées dans un endroit sis hors de Nouakchott, sur la route de la capitale économique, indiquent des sources privées, selon lesquelles leur interpellation serait en rapport avec celle de Haidalla fils, précisant qu’ils détenaient en leur possession des 4X4 luxueuses.
Les mêmes sources affirment que ces rebondissements seraient en connexion avec une opération de trafic de quantités de drogue découvertes par les autorités publiques, au terme d’un suivi minutieux des appels téléphoniques effectués ces derniers temps par Sidi Mohamed Ould Haidalla.
Une réunion sécuritaire a été organisée pour la circonstance en présence de Ould Ghazouani, du directeur de la sureté et du chef d’état-major de la gendarmerie.
Objectif : examiner l’opération qui a conduit à l’arrestation de Ould Haidalla et qui, selon des sources, a été à l’origine de l’annulation d’une visite que le Président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz devait effectuer en République d’Egypte.
Ould Haidalla fils avait été accusé d’implication dans un trafic de drogue, à travers l’aéroport de Nouadhibou. Il a fait 7 ans de prison au Maroc à la suite de son accusation de trafic de drogue.
Traduit de l’Arabe de Cridem
Source : Taqadoumy (Mauritanie)
Commentaires : 3
Lus : 4425
· Al Amiin (H) 02/02/2016 02:05
@ Mohamed 124 C'est le Président qu'il faut à la
Mauritanie pour les 9 ans à venir. S'il quitte ce sera le chaos. Vous voyez ce
qui se passe au Mali tout proche?
· mohamed 123 (H) 01/02/2016 17:55
Aziz tu doit degager !!
· hachmi (H) 01/02/2016 10:13
Taqadoumy, l'art de chercher toujours la petite
bête là elle ne se trouve pas ! Au lieu de féliciter nos services d'ordre pour
leur travail, il vous faut parler du Président de la république dans une
affaires de fait divers concernant des tripoux connus. Le titre de l'article
est tendancieux et faut et sème la confusion et mélange les genres.
lundi 1 février 2016
saisie d’une quantité de cocaine pour une valeur de 100 milliards d’ouguiyas - Mauriweb repris par Cridem
Mauriweb - Les autorités
mauritaniennes ont saisi ce week-end une importante quantité de drogue
(cocaïne) pour une valeur de 100 milliards d’ouguiyas, entre Nouakchott
et Nouadhibou, indique une source officielle qui
préfère garder l’anonymat.
Selon cette même source, la quantité saisie est de près de 2 tonnes de cocaïne.
La saisie de cette énorme quantité a été suivie d’une vague d’arrestations qui a touché une trentaine de personnes.
Néanmoins, l’on suppose que ces trafiquants parmi lesquels des étrangers auraient bénéficié de complicités locales pour tenter d’acheminer ces produits vers l’Europe, leur marché final.
Une enquête aurait été déclenchée pour situer les responsabilités dans cette affaire qui risque de faire des vagues.
Selon cette même source, la quantité saisie est de près de 2 tonnes de cocaïne.
La saisie de cette énorme quantité a été suivie d’une vague d’arrestations qui a touché une trentaine de personnes.
Néanmoins, l’on suppose que ces trafiquants parmi lesquels des étrangers auraient bénéficié de complicités locales pour tenter d’acheminer ces produits vers l’Europe, leur marché final.
Une enquête aurait été déclenchée pour situer les responsabilités dans cette affaire qui risque de faire des vagues.
Source : Mauriweb (Mauritanie)
Commentaires : 4
Lus : 3236
I
·
abdou2016 (H) 01/02/2016
23:31
Je suis vraiment sidéré et choqué de voir qu'a
chaque fois et chaque année, mon pays est confronté a un certains niveau de
responsabilité dans une affaire de drogue, de trafic, de falsification de faux billet
et j'en passe, ce qui est extraordinaire dans toute ses histoires se sont les
ministres ou les fils de ministres, la femme du ministre ou de l'Ambassadeur,
je crois que la Mauritanie est devenue la COLOMBIE de l'Afrique et plus
particulièrement du Maghreb Arabe pays musulman avec ses millions de poètes qui
snif la cocaïne, la vende aux autres pays, c'est à dire de vrai
narcotrafiquant, avec des barbes qui cachent des joins marijuana, et plusieurs
mosquées pour prier et ils s’achètent des grosses cylindrés, construisent des
maisons avec boutiques et magasins, voila la Mauritanie mon pays bien aimé,
terre de l'islam.
· Ndiamndi (H) 01/02/2016 22:02
C'est vraiment PITOYABLE! Ou est la Mauritanie
innocente des annees' 1960?
· julio79 (H) 01/02/2016 11:56
ce qu’il son déclare la majorité reste dans leurs
pocher les trafiquant font des affaire avec le Maroc avant d’entrée sur le sol
mauritanien bandiyagal tan
· habouss (H) 01/02/2016 11:32
Sans blague ! La Mauritanie joue ainsi très bien
son rôle de trait d'union entre 2 mondes et remplit son héritage de pays de
caravaniers, sinon comment expliquer au aisément 2 tonnes de cocaïne se
baladent sur une voie aussi surveillée que la route de NKTT-NDB ?